#81 nan nan, là ça ne dépend pas du point de vue du prof, mais du barème c'est différent.

La philo (y a beaucoup de sujets dessus ces temps-ci) ou comment être noté plus ou moins sur un jet de dés... VDM t'as simplement pas eu de chance !

Pas de regrets, la philosophie est la matière la plus subjective qui soit. Ta note dépend de l'humeur du prof, demain il optera peut-être pour le génie.

@Minou14 ;) Je m'en sortais bien en prépa (16), pas terrible en terminale (9) alors que mes copies étaient assez semblables. Expliquez moi donc maintenant en quoi un garçon qui a eu 16/20 de moyenne en philo deux années sur les trois est un rageux ;). Je trouve que ce n'est pas très philosophique de traiter ainsi ceux qui pensent que les notes de philo sont aléatoires. C'est une sorte de préjugés un peu facile qui pousse à l'amalgame non ? Des fois, il faut creuser et réfléchir en profondeur plutôt que de céder à la facilité. XD

#86 En Terminale, j'avais 15 de moyenne en philosophie. En 1ère année de prépa, j'avais 15 de moyenne en philosophie. En 2ème année de prépa, j'avais 4 de moyenne en philosophie. En 3ème année de faculté, j'ai 15 de moyenne en philosophie. La différence entre toi et moi, c'est que toi tu penses que ton 9 de terminale vient du professeur, alors que moi j'ai conscience que mon 4 de khâgne vient du fait que je glandais rien, que je ne révisais pas, que je ne bossais pas les auteurs, et que finalement, ben je les méritais ces 4! La facilité serait au contraire, dans mon cas, de dire "ouais, j'ai toujours eu 15 sauf en khâgne, ca prouve bien que c'est aléatoire". C'est bien plus dur de se remettre en question en disant "c'est vrai que j'ai rien foutu cette année-là, c'est de MA faute." Je trouve donc que c'est toi qui cède à la facilité en disant que c'est aléatoire et que donc le problème ne vient pas de toi...

Au moins ton travail était original, moi j'avais toujours droit à "cliché" comme commentaire en philo...

+1 avec les défenseurs de la philo, c'est tellement facile de se rabattre sur la "subjectivité", surtout quand on n'a rien glandé et qu'on n'entrave que dalle sous prétexte que c'est de la philo. Comme ces cinquantenaires qui décrètent que l'informatique c'est compliqué et nous font des quadruples clics quand on vient de leur montrer comment cliquer. En philo il y a quand-même une solide base documentaire vue en cours sur laquelle on peut s'appuyer si on n'a pas d'idée ou d'arguments à défendre, personne n'a jamais demandé de redéfinir le triangle. Évidemment pour ça il faut un tantinet se sortir les doigts du Moi profond et bachotter un peu. Si tu commences à citer Sartre et sa théorie du sur-homme ou le Zadig de Platon forcément il ne faut pas s'attendre à beaucoup de mansuétude (sauf si tu arrives à argumenter, à la rigueur).

j'adore!!!

#89: et là encore, ca dépent totalement des profs et de leurs attentes. Certains attendent une réflexion personnelle, d'autre juste une sorte d'histoire de la philo, bourrée de références et de citations. C'est vraiment variable. Personnellement, je suis tombé sur la première catégorie: nos cours ne ressemblaient à rien, et à part 2-3 définitions très très larges de notions (du genre qui sert à rien), je n'avais rien à réviser pour le bac! Ce qui d'ailleurs m'a fait hair cette matière, m'engueuler avec la prof etc, alors que pourtant, je lis des textes philosophiques avec plaisir (le plus souvent) Il ne faut pas confondre la philosophie en tant que matière scolaire et en tant que science/art/discipline: c'est une approche complètement différente (et complètement idiote en tant que matière, de mon point de vue)

En meme temps les génies sont souvent fous lol