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Vivement la rentrée, hein ?
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Top commentaires
Commentaires
Magnifique cas d'école (sans mauvais jeu de mots) de pseudo-surdouance comme fantasme de parent démissionnaire.
Tu aurais du lui préciser que Ie problème, c'est que tous les rebelles ne deviennent pas des génies... Ça serait trop simple sinon...
VOILÀ UNE MAMAN QUI Q COMPRIS
Je suis d'accord avec la mère sur un point, l'école a qu'à s'adapter. Je m'explique, si on regarde bien se sont les élèves qui doit être dans le moule de l'élève modèle qui a 20 de moyenne partout ( j'exagère mais des fois c'est ce que les profs font ressentir ). Ça se trouve, le cancre n'aime pas l'école, ce n'est pas pour autant qu'il n'aime étudier ou apprendre, c'est juste que la méthode employée n'est pas la bonne pour lui. Or c'est le problème en France, t'es pas dans le moule de l'élève modèle, t'es pas aidé, on t'envoie dans un truc que tu aimes pas déjà que c'était pas ça avec l'école mais alors la encore plus. Alors que Par exemple en Allemagne, il existe différents types d'école qu'ils choisissent des la fin de la primaire. Vous allez dire c'est trop tôt, c'est pas l'enfant qui décide c'est les parents. Peut-être comme chez nous c'est indirectement mais on est poussé par nos parents pour faire tel ou tel étude. Et les élèves ne sont pas délaissés mais soutenu par l'équipe pédagogique qui chez nous est quasiment inexistante... Bref, je ne blâme pas la directrice mais l'éducation en France se barre un peu en cacahuète. Je ne nie pas que le môme à l'air d'être un sale môme car il est insolant puis en plus il a l'air d'avoir le genre de parents qui voient leur enfant comme dieu ? Même si je suis d'accord sur un point avec la mère mais je suis aussi d'accord avec l'auteure car il n'a pas à être isolant ? Voilà je sors ma science désolé ?
L'école peut aussi ne pas être adaptée aux très bon élèves qui s'ennuient à mourir et seraient beaucoup plus stimulés intellectuellement dans d'autres structures. Malheureusement avoir une école qui correspondrait a tous les élèves est difficile :/
Svetlanah: tu as tout à fait raison. Il n'y a qu'en arrivant en prépa que j'ai commencé à vraiment travailler, et surtout à comprendre que j'avais énormément de choses à apprendre, et que je pouvais toujours faire mieux. Au collège ou lycée, on ne nous donne pas forcément les moyens d'aller plus loin dans l'apprentissage, je pense qu'il faut valoriser la recherche personnelle, et en plus on apprend mieux ainsi. Mais il est vrai que s'adapter à tous est difficile; les études supérieures permettent enfin de choisir ce qui nous convient le mieux, pour moi la khâgne!
#201 Comme je te comprends ! J'ai également fait une Hypokhâgne/Khâgne et enfin j'ai commencé à vraiment apprendre des choses et a être stimulée ! Si seulement au lycée on pouvait satisfaire notre curiosité mais heureusement il y a les livres ;)
ah mais il y en a des pires ! paroles de prof
encore une mère qui a tout compris ... quand son gosse sera une petite racaille insolente à domicile elle dira que c'est la faute de l'école, de la société ... stop aux parents qui se mettent des œillères !!!! Y a des bons coups de p... qui se perdent !
L'échec scolaire et les troubles du comportement chez l'enfant exigent une expertise un peu plus approfondie que "il est nul et mal éduqué" ou "il est rebelle et génial". Ça implique donc: -un bilan neurologique (troubles de l'attention avec ou sans hyperactivité, absences petit mal épileptiques responsables de "trous" dans ce que l'enfant reçoit donc dans ce qu'il pourra restituer, trouble de la personnalité) -un bilan orthophonique et éventuellement psychomoteur (dyslexie, dyspraxie), -un test de QI (psychologue scolaire), pour savoir si l'enfant s'ennuie et réagit (cancre surdoué) ou est incapable et réagit. -la vérification que d'un point de vue sensoriel, tout fonctionne (infirmière scolaire), -la vérification que les conditions de vie de l'enfant et ses conditions d'apprentissage sont adaptées (entretien avec les parents, services sociaux) -une bonne coopération entre les différents intervenants et les parents, ce qui implique de les convoquer pour une démarche de réflexion autour d'un problème d'adaptation de l'enfant à l'école, (ou de l'école à l'enfant, s'il faut entrer dans le jeu de cette mère pour espérer régler le problème) en présentant les différents outils à disposition. Les parents de ces enfants en échec sont souvent dans le déni et ont tendance à se cramponner à toute explication irrationnelle qui ne les remette pas en question eux ou leurs enfants (mon fils est un génie rebelle). Peut être faut il considérer l'insolence et l'échec scolaire comme des symptômes et tenter le diagnostic causal avec l'aide des parents, en passant s'il le faut la main à d'autres intervenants (médecin ou psychologue scolaire ) pour travailler autour de l'enfant?
Le problème est que beaucoup de parents ne veulent pas entendre parler de ces tests... Ma mère est instit, et elle me dit que c'est souvent dur de faire passer des tests à un enfant, que ce soit à cause du système scolaire ou des parents. Certains parents s'attendent à ce que l'école fasse tout pour eux et refusent de s'investir. Si on ne peut pas travailler avec les parents, il devient dur de pouvoir faire quoi que ce soit avec les enfants...
Euh... l'échec scolaire c'est une chose et je ne suis franchement pas fan de l'école d'aujourd'hui pour diverses raisons mais l'insolence, c'est autre chose, ça peut partir dans le manque de respect et là non, faut pas pousser !
Ben quoi c'est vraie ... Pourquoi pourri l'intelligence d'un futur Einstein , laisse le tranquille ! ^^
Par s'adapter la mère voulait surement dire que son fils a besoin de deux bonnes baffes dans sa gueule :)
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Au moins on est sûr d'une chose, son enfant ne fait pas partir du petit pourcentage de ceux échangés à la maternité.
Génie de la connerie oui :')