Fraude
Par Porsinette - 31/08/2018 09:00 - France
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Par Kali - 04/06/2015 15:55 - France - Vincent
Par hyjblkbj - 20/05/2012 10:32 - France - Les Andelys
Par alex - 10/02/2009 21:13
Par fafa31330 - 13/01/2024 06:20 - France - Bourg-en-Bresse
Par Anonyme - 28/10/2010 09:43 - France
Par louaaane - 28/05/2013 17:59 - France - Montpellier
Par badluck - 08/06/2015 18:09 - France - Reims
Par Magabarai - 21/11/2012 07:30 - France
Par arwen - 03/06/2008 18:02
Par Artfice3 - 26/12/2013 19:40 - France - Champs-sur-marne
Comment ça une fausse montre? Un bracelet en forme de montre avec des aiguilles qui ne tournent pas? Pardon mais je ne vois pas du tout ce que ça peut être.
Une contrefaçon :) c’est ce qui est sous entendu ici
Une rotex.
Commentaire modéré car il ne respecte pas la charte.
Voir le commentaire quand mêmeEt c'est pas vrai? :'(
FML, ça va être tendu en 20 ans tout ça. J'vais me contenter d'une Flik Flak.
J'ai effectivement hésité un instant avant de proposer la correction, mais vu le contexte, je me suis dit que tu voulais dire "venu" quand même ;) Dans tous les cas, c'est un point qui m’intéresse: comment faire revenir la mort dans la société? qui nous amène à la question: pourquoi en est-elle partie? Je ne vais pas me lancer dans une diatribe (à la suit-face :)), il y a trop de choses à dire mais en gros aujourd'hui ... on cache la mort (ou ce qui peut nous la rappeler: la vieillesse, la maladie) le plus possible (...vdm): les cadavres sont cachés le plus vite possible, les cimetières loin de tout. Pourquoi? Surtout que ça n'a pas toujours été le cas et que suivant les sociétés, justement la mort peut-être partie prenante de la vie de tous les jours ... Les romains, autrefois, plaçaient des tombes près des entrées des villes pour rappeler notre condition mortelle, pourquoi pas? J'ai l'impression qu'on ne se pose même plus la question et que c'est un acquis/un tabou(?).
Sejta, en général ceux qui pensent qu'une contrefaçon va donner l'impression qu'ils ont réussi leur vie, bah ils l'ont pas vraiment réussie justement...
Antigone conçoit la mort différemment de ses contemporains. Pour elle, la mort est quasiment un choix, c'est elle qui l' a choisie afin de maintenir la pureté ainsi que la liberté. Elle n'est ni coupable ni innocente. C'est le destin qui la pousse à sa perte et l'engage dans une lutte écrasante. Je pense qu'il faut enlever toute portée religieuse à ce mythe si on veut en faire un parallèle sur les préoccupations de la mort et le rôle des morts dans notre société occidentale moderne.
Oui moi aussi je regarderai. Mais c'est marrant cette histoire de tabou, justement hier je regardais une vidéo où il était question des menstrues dans l'histoire (rien à voir avec la mort donc). Selon les époques on a du sacré, du tabou, mais grosso modo plus la femme est respectée, moins c'est tabou. Du coup je me dis que la mort est peut être taboue parce qu'on ne respecte plus la vie. Faut dire ce qui est, on a fait plus galère niveau survie que l'occident à notre époque.
Sejta> Le passage sur la place des morts est relativement court mais intéressant, je retiens surtout cette phrase "L’homme du XXIe siècle est fondamentalement dépourvu de destin ; de là, la déréalisation contemporaine de la mort qui se manifeste dans la difficulté à prendre en charge tant le cadavre que le deuil", avec une référence que j'irai sans doute consulter (bon certes on a pas de destin, mais du coup on est libre de créer le notre, et puis c'est pas en se voilant la face, à propos de la mort, qu'on avance le mieux) :) Madame dodue> très intéressant comme parallèle, j'ajouterais même, on ne respecte plus la vie parce qu’on en a fait, pour une part, un outil avec un "cycle de vie" spécifique.
Kwalish, je dis pas que des conneries 😀
Intéressant. Si vous souhaitez lire deux ouvrages sur le sujet : «La place des morts : Enjeux et rites» de Patrick Baudry : Pour Patrick Baudry, sociologue, le psychologisme régnant dans la société contemporaine a réduit la ritualité funéraire à une sorte d'hygiène mentale censée favoriser le travail du deuil individuel et familial. La question de la mort comme limite infranchissable et la dimension sociale des rituels sont escamotées. Pour P. Baudry, l'obligation de séparer les morts des vivants est pourtant une construction collective, qui est tout bonnement aux fondements de la culture. Il nous invite à en tenir compte. «La mort vue autrement. Paris : Les empêcheurs de penser en rond» de François Dagognet (pas celui de Kaamelott, je vous rassure !) : François Dagognet, philosophe, réexamine, pour les mettre en regard, les points de vue de la biologie et de la philosophie sur la mort. Pour la première, la mort et la sexualité vont de pair, et constituent un mécanisme qu'utilise la vie pour mieux se continuer et se diversifier. Pour la philosophie, depuis Platon, la mort est à la fois une conséquence du péché et une promesse de délivrance. Écartant les conceptions religieuses inspirées par Auguste Comte, F. Dagognet replace les morts au cœur de la communauté qu'ils recomposent et revivifient à l'occasion de leur disparition, et esquisse ainsi le portrait d'une mort apaisée.
Sinon, tu lui offres une pipe. Une vraie... :)
Euh ouais ok de façon générale mais offrir une contrefaçon c'est un peu moche.
Plutôt que l’intention, j’aurais dit que c’est le comptable (ou la calculatrice) qui compte...
C'est une toc-ante alors.. ^^
garde la pour toi, ça vaut mieux !
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Sinon, tu lui offres une pipe. Une vraie... :)
Une contrefaçon :) c’est ce qui est sous entendu ici