Merci pour ton commentaire. :) En tout cas bon courage parce que deux mois et 20 jours ça fait long :-/

Ton histoire me rappelle bigrement la mienne. Après m'être violemment tordue la cheville, j'ai sautillé jusqu'à l'infirmerie où la personne (infirmière ou médecin ? aucune idée...) a appuyé sur mes ligaments en me demandant si c'était là que j'avais mal. J'ai dit 'non' et elle a appuyé très fort en me demandant si j'étais vraiment sûre. J'ai répondu que j'avais un peu mal, mais juste parce qu'elle appuyait fort. Elle a tâté ailleurs et j'ai failli crier lorsqu'elle a palpé mon péroné. Je lui ai signalé que c'était là que j'avais mal. Elle m'a répondu "C'est pas possible, c'est l'os". Elle m'a mis de la pommade et une bande, en me disant que ça irait mieux demain, alors que je ne pouvais même pas faire un seul pas : je sautais pour avancer, ou je mettais mon poids sur ce qui pouvait me soutenir. Le soir ma mère m'a emmené à l'hôpital et on m'a plâtré. Le lendemain j'ai reçu un mot : je devais me rendre à l'infirmerie (pas au RDC, sans ascenseur). J'y suis allée, ça me permettait de lui donner des nouvelles (voire d'avoir des excuses). Elle m'a juste dit : "La bande, tu me l'as rapporte demain. Et propre !".

Merci pour les précisions :)

#289 c'est inadmissible ce genre de comportement.. en espérant que vos bobos se remettent bien!

C'est quoi ces infirmières sérieux ?!!

La même chose m'est arrivée, je me suis fait mal aux doigts en sports. L'infirmière m'a affirmée que j'avais des doigts boudinés et pas enflés et finalement deux doigts cassés...

Ça me rappelle aussi une histoire, je connait quelqun qui c'était fait mal à la cheville elle est donc aller voir son médecin habituel, il a dit que c'était rien qu'elle exagérait (je crois qu'il a même clairement dit que c'était une chochote). Après quelques jours la douleur était encore plus forte elle est donc allée aux urgences, où on lui a immédiatement dit qu'elle c'était fracturé quelque chose dans la jambe et qu'il aurait fallu venir directement pour mettre un plâtre, elle a expliqué l'histoire à l'urgentiste, il était choqué. Elle n'a pas hésité à retourner chez ce fameux médecin et lui a montré que non ce n'était pas une chochote...

En parlant d'infirmières incompétentes dans les écoles, j'ai moi aussi une petite histoire. En sixième, en cours de sport, on devait courir et j'ai commencé à me sentir mal. Je me suis donc arrêtée et ma respiration, elle, ne s'arrêtait pas. Je continuais à respirer comme si j'étais dans un effort physique intense, je me suis assise pour me calmer mais je respirais toujours anormalement vite, et je me suis écroulée sur moi-même, je n'arrivais plus à faire le moindre mouvement, mes mains étaient complètements crispés et je ne pouvais pas bouger mes doigts. Du coup, l'infirmière est venue, complètement sereine alors que j'étais vraiment mal, je respirais vraiment fort mais j'avais l'impression de ne pas recevoir un seul gramme d'air, mes mains commençaient à bleuir, et elle m'a donné un verre d'eau sucré et m'a dit de me calmer. Ma "crise" a diminué au bout d'une demi-heure, et elle insistait pour que je boive son sirop, cette folle. Le lendemain, je suis allée chez un médecin spécialisée qui n'a pas su m'expliquer ce que j'avais, et qui m'a dit que je devais retourner la voir en pleine crise. Comme quoi, les infirmières ne servent pas à grand chose dans les collèges...

Moi il m'est arrivé des trucs sympas aussi. Notamment un jours petite en roller je suis tombée, j'ai mal je vais donc me plaindre a ma mère, chose qu'à l'époque je faisais à la perfection. Pareil elle me dit que c'est rien. 3 semaines plus tard a force que je me plaigne elle m'emmène faire une radio... Entre temps à l'école ce jour la je retombe, et jai treeeees mal au second poignet. Résultat aux radio une fracture a chaque main ahah. La tronche de ma mère quand elle a appris ça !

ben, la tronche de la mère, la tronche de la mère ... quand il y en a qui se plaigne pour un oui pour un non, faut pas s'étonner qu'on se précipite pas après à chaque "pleurs"

merci de ces précisions, j'espère que - dans ton malheur - cette anecdote servira de leçon à l'infirmière qui sera désormais plus à l'écoute de ses patients ! Courage pour le plâtre

Mon copain a vécu un truc pas mal dans le genre aussi, y a longtemps. Grosse fièvre de malade (genre minimum 40°, je plaisante pas), douleur intense à la jambe gauche, vraiment très mal en point. Direction son médecin, qui lui dit "je vous prescris du doliprane, ça ira mieux demain". Bah tiens, tu m'étonnes. Son état ne s'est pas amélioré, ma belle mère a fini par l'emmener aux urgences. Staphylocoque doré. Bam. Je crois qu'il est resté un bon moment à l'hôpital, avec la jambe gauche entièrement platrée... Franchement, je respecte le métier des médecins, mais y en a c'est quand même VRAIMENT à se demander si ils ont pas eu leur diplôme dans une pochette surprise. Il aurait pu en crever de son staphylocoque et de sa fièvre... -_-"

Aie! J'espère que tu passeras tout de même de bonne vacances car 2 mois et 20 jours c'est long.. Courage à toi

Ça me rappelle aussi une histoire à propos d'une infirmière dans mon ancien lycée.... Ah non..

Oh j'ai encore mieux ! Bon c'était il y a près d'un an, mais j'imagine que ça compte quand même. J'étais en atelier électrotechnique (bac pro) et quelqu'un de ma classe s'est violemment cogné la tête. Il avait du mal à parler, il titubait un peu et il se souvenait plus de l'accident. L'infirmière l'a renvoyé chez lui pour la journée pour qu'il se repose. Par précaution, ses parents l'ont emmené aux urgences. Verdict : contusion cérébrale et hématome sous-dural. En clair, hémorragie intra-crânienne (donc risque vital à court ou moyen terme). NB : je précise que je n'ai rien contre la profession d'infirmier / infirmière, bien au contraire. Seulement dans mon lycée j'ai pu constater quelques décisions que la logique et le bon sens réprouveraient (notamment un prof d'EPS qui ignore une détresse respiratoire chez un élève avec des antécédents de problèmes cardiaques), et je dois dire que ça m'a parfois mis en rogne. Je précise aussi que bien qu'étant seulement élève, j'ai le diplôme PSE1 (diplôme de secourisme en équipe, pour faire des postes à la protection civile par exemple). Il est évident que ça n'équivaut absolument pas à un diplôme d'IDE, mais ça donne un esprit critique plus développé sur les problèmes médicaux. Et pour le cas de la contusion cérébrale pré-citée, je précise aussi que j'en ai parlé avec un médecin de SMUR et un IDE pour éviter de penser ou de dire trop de conneries. On peut imaginer que passer plusieurs années à ne traiter que des petites coupures ou des gastros, on doit en oublier les parties plus "techniques" de son diplôme d'IDE. Sans rancune aucune, vous faites un beau métier ! ;)

D'expérience (poignet, doigt, pied et bras cassé, plus deux entorses, réparties sur trois ans), une fracture se voit rarement. Dans le cas de certains os, nottament au poignet et dans la jambe, ça ne se voit pas du tout (et c'est généralement le cas tant que ce n'est pas déplacé), mais surtout, sans beaucoup d'expérience, on ne sait pas dire au toucher s'il y a une fracture, ou si c'est une jonction entre deux os. Même avec une radio, il est arrivé à un ami qu'on ne repère pas une fracture... L'os s'est mal ressoudé, et il a fallu le lui recasser après... Le tout dans un grand hopital. Alors, il vaut mieux ne pas trop blamer les infirmières...