J'en parlerai à mon cheval

Pourquoi donc ? Ils peuvent s'aimer mais avoir des attentes differentes de la vie. Chacun fait ses choix.

Personne n'a parlé d'IVG, peut être qu'elle va les garder maintenant qu'ils sont là. Faut attendre les précision de l'auteur.

Rien dans la VDM n'annonce qu'elle avortera... Certes, elle a dit ne pas se sentir prête, ce qui pourrait supposer une IVG. Mais certaines personnes peuvent avoir des convictions tellement fortes envers les enfants à naître qu'elle choisira de les garder, avec leur père je l'espère. Sinon , je transmet tout mon soutien à cette personne, car en effet une IVG n'est jamais facile à vivre.

Pour moi, pas prete a avoir des enfants veut dire faire une IVG en cas de grossesse... Après, certaines le disent et gardent le bébé quand meme, j'admets que ça arrive.

perso, ma première fille s'est invitée à une epoque où je n'aurais jamais choisi de l'avoir de moi-même. C'est pas la même chose, ce qu'on souhaite quand rien n'est fait et ce qu'on pense quand le bébé est bel et bien dans le ventre. La décision de ne pas faire d'enfant et celle d'avorter sont très différentes.

Dans tous les cas, qu'elle fasse une IVG ou qu'elle décide de garder les enfants... Elle sera seule :/

Elle trouvera bien un homme qui respectera son choix de ne pas avoir d'enfants. Elle n'a rien perdu.

#supergentille: Et si tu fais un déni de grossesse et que tu ne t'en rends compte qu'au bout de 4-5 mois ? Tu te jettes dans les escaliers jusqu'à ce qu'on te dise que tu l'as perdu ? Bon après il y a l'adoption, je te l'accorde. Mais à mon avis, tant qu'on est pas confronté à faire ce genre de choix là, c'est très simple de se dire "si un jour je tombe enceinte, hop, j'avorte et on n'en parle plus.", "si un jour j'ai un enfant handicapé, hop je l'abandonne et on n'en parle plus." Mais une fois devant le fait accompli, tu penses autrement. Un enfant n'est pas un pot de yaourt que tu met à la poubelle et dont tu oublies l'existence 20 secondes plus tard et pour le restant de tes jours... :)

Non mais vous êtes impossibles, c'est incroyable ! Encore de ceux qui sont persuadés qu'une femme aura forcément envie de maternité un jour, parce qu'une femme DOIT avoir des enfants ! N'imp's ! Il y a bien des domaines ou il ne faut jamais dire jamais je le conçois, mais là je suis FORMELLE, je ne VEUX PAS d'enfants, jamais au grand jamais, et vous ne connaissez pas assez mon vécu pour penser que c'est un jugement hâtif dû à la jeunesse. Dans le cas d'un déni de grossesse ce sera plus compliqué effectivement, mais quitte à avoir des regrets, je préfère le placer à l'adoption. Parce que c'est juste hors de question pour moi, même en étant un tant soit peu émue une fois le mioche dans les bras. Je sais que je ne suis pas faite pour avoir des enfants, il y a qui le sont, et tant mieux pour eux, ils vont continuer de pérenniser l'espèce (même si on est déjà assez nombreux comme ça, mais ce n'est pas vraiment le sujet). Et je me fiche de faire un pied de nez aux stantards qui veulent que l'on se reproduise tous car on est faits pour ça à la base. Vous pourrez me regarder comme un alien tant que vous voudrez, je ne reviendrai pas sur ma décision. Rendez-vous dans 10 ans, dans 15, dans 20 si vous voulez, vous ne me verrez jamais mère.

Une fois bébé dans le bidou, même si on en voulait pas à la base, l'IVG n'est pas forcément possible. Cependant, être mère n'est pas une obligation. On peut décider de ne pas avoir d'enfant même très jeune et s'y tenir parce qu' on n'est pas faite pour ça ou simplement parce qu'on n'en a pas envie. Heureusement qu'on a le droit de choisir ce qu'on veut faire de son utérus ...

supergentille, personne n'a dit qu'un jour tu auras forcément envie d'un enfant. Ce qui a été dit, c'est que bien que tu n'en aies pas envie maintenant, tu ne sais pas comment ta pensée va évoluer, et il n'est pas impossible que tu veuilles un enfant un jour. Je connais quelqu'un qui en est le parfait exemple, qui était catégorique comme toi, mais qui aujourd'hui a 3 enfants et en est très fière. Après je ressens une certaine amertume dans tes propos, qui laisse entrevoir un passif assez lourd qui est sans doute la cause de ton refus catégorique. Mais tu ne peux pas prévoir le recul par rapport à ça que tu auras dans le futur. Peut-être ton opinion sera-t-elle la même, ou peut-être que non.

Il faut aussi comprendre que c'est agaçant quand, dès que l'on affirme ne pas vouloir d'enfants, on entend presque systématiquement des réponses du style "tu changeras d'avis" sans être prise au sérieux. Ce qui expliquerait pourquoi supergentille est autant sur la défensive bien que sa virulence n'aide pas vraiment sa "cause". ^^

On peut aussi dire :" je ne veux pas d'enfants, ni maintemant ni plus tard" et penser ne pas changer d'avis. L'inverse est aussi possible et on peut étant jeune souhaiter avoir des enfants plus tard et finalement ne pas décider d'en faire. Il y a plein de domaines dans lesquels on peut évoluer, même si notre vision actuelle est nette.

je sais que cest pas ma vie de merde mais je me suis aussi faite plaquee ya peu et je suis peut etre enceinte. jai toujours voulu des enfants mais l'elever seule n'etais pas mon intention. le pere a deja vecu ca et la fille a garder l'enfant sans lui dire. moi je lui en ai parler par respect mais je ne sais pas quoi faire ;( jai peur de ne plus jamais pouvoir avoir d'enfants d'un coté et de l'autre jai peur qu'il men veuille car je le comprend mais j'hesite quand meme

What ? Garder des jumeaux pour rester avec son copain alors qu'on ne sens pas prête à avoir ne serait-ce qu'un enfant ? Non. Le fait d'avorter seule est pas facile facile, je l'accorde, on ne va pas chercher du pain à la boulangerie. C'est plutôt stressant au début, on est un peu paumé, paniqué en pensant aux différentes dates limites pour méthodes médicamenteuse, médicamenteuse sans hospitalisation, IVG tout cours... Faut du courage lorsqu'il y a des obstacles ou pour même oser se lancer dans ce système dont on ignore tout (bon je passe sur le fait que notre compagnons n'est pas forcément - et souvent loin de là - le meilleur soutient dans ces périodes. 'sont souvent un peu à côté de la plaque nos Jules dans ces moments... alors espérons que si elle peut et veux choisir l'IVG, elle trouvera des personnes à qui en parler, que ce soit dans son cercle d'amis, sa famille, ou le personnel du planning et de l'hôpital ) MAIS l'avortement n'est PAS un traumatisme. Ce n'est PAS horrible. Énormément de femme avorte "seule", parfois même dans des conditions inadmissible, avec culpabilisations (heureusement que ce n'est pas systématique...), d'autre fois dans un cadre plus ou moins respectueux, et encore d'autre fois dans des centres tout simplement géniaux, alliant soutient et professionnalisme, mais comparé à une grossesse non désiré, l'IVG est un soulagement pour grand nombre de femmes seule ou non. #106 : Non ! On ne pense pas autrement. Lorsqu'on ne veut pas, on ne veut pas. Point. On ne va pas se retrouver d'un coup prête à avoir un gosse parce qu'un test nous déclare enceinte ! On ne va pas soudainement se dire que l'on veut cet enfant non plus ! On a le droit de ne pas vouloir d'enfant, de ne pas se sentir prête même en étant enceinte et de vouloir avorter. "Un enfant n'est pas un pot de yaourt que tu met à la poubelle et dont tu oublies l'existence 20 secondes plus tard et pour le restant de tes jours..." L'embryon ou le foetus que l'on à dans l'utérus au moment de l'avortement N'EST PAS UN ENFANT, il n'a pas d’existence! Bordel ! Tes comparaisons sont complètement insensé, culpabilisante et honteuse ! Et non un avortement ça ne s'oublie pas mais ce n'est pas de "ce petit être qui ne grandira point (dieu du ciel !)" dont on se souviendra mais du parcours que ça a été, comme pour toute opération, de comment nous avons été reçus, des personnes qui nous on aidé, qui ont voulu s'opposer à notre droit, a notre choix, de l'opération et comment on l'a vécu (stress, douleur) comme pour toute expérience. ça n'a rien d’exceptionnel ! #124 :Et bon sang encore non ! Lorsqu'on ne veut pas d'enfant ça ne veux pas dire que l'on a un traumatisme ou une mauvaise expérience passé ! Des femmes ne veulent pas être mère comme des hommes ne veulent pas être père ! (Mais bon, là, étrangement, on leur fou plus facilement la paix à ces messieurs !) C'est tout ! Comme le dise plusieurs personnes c'st normal que supergentille soit agacer par ce genre de discours ! ça m'énerve aussi, comme les préjugés et diffamation sur l'IVG et je n'ai pas de quelconque passé me poussant à ne pas vouloir d'enfant ! Et excusez la virulence de mes propos mais j'ai vécu un expérience traumatisante... avec des gens qui se sentaient obliger de penser et de choisir pour moi, ma vie, mon corps. A bon entendeur...

LTacos, je cite "vous ne connaissez pas assez mon vécu pour dire que c'est un jugement hâtif dû à la jeunesse". Ça veut clairement dire qu'elle a vécu quelque chose qui fait qu'elle ne veut pas d'enfants.

il y a de nos jours,une énorme pression et une certaine discrimination envers les femmes qui ne veulent pas d'enfants,car cela va a contre courant de ce "besoin vital" d'enfant qui fut très recensement crée de toute pièces par la société de consommation.elles sont considérées par leur semblables comme des sous-femmes ,et se retrouvent poussées en dehors du cercle jusqu’à ce que "l'horloge biologique" veuille bien leur faire entendre raison et faire d'elles ce qu'on leur dit d'etre. Les commentaires de #supergentille ( que aux passage,je soutient ) soulèvent une question que bien des gens refusent d'entendre... aux yeux des femmes...c'est quoi être une femme?..moi qui suis un homme,j'ai un point de vu extérieur et je constate que pour les femmes en général.Et bien, être une femme c'est d'avoir des enfants...sinon on est "pas normal".

Personne ici n'a dit qu'une femme devait forcément être maman. Apprenez à lire, avant de défendre comme des avocats. On a juste dit en gros, que personne ne connaît le futur. Pour ma part, (#146) je n'ai pas dit qu'elle changerait forcément d'avis. Mais que tant qu'ON (une globalité de personnes) n'est pas confronté à ces situations, c'est très simple de dire ce qu'on ferait si. C'est comme les jeunes qui disent "moi mon enfant plus tard il ne sera pas insolent car je l'eduquerais bien." "moi si j'ai un mari qui me tape, je me barre direct". Oui ça paraît très simple à faire tant que c'est pas vécu. Quand ça arrive, on réfléchit un peu plus (généralement). Après si supergentille a un passé ou un présent qui la pousse à ne pas vouloir d'enfants, ok, c'est sa vie, ça ne va pas m'empêcher de dormir, chacun fait ce qu'il veut et ce qu'il peut de son corps et de sa vie.. ;)

#170...que l'on apprenne a lire?!..ne vous êtes vous pas demandé si VOUS deviez savoir lire entre les lignes pour appréhender l'opinion ( et accessoirement montrer un peu de respect envers celui ci ) des gens avant de nous sortir ce genre de fielleuse remarque?.

pou_zu_zu, à aucun moment je pense avoir lu qu'elle serait forcée d'avoir envie d'un enfant. J'ai juste dit, et c'est ce que je pense comprendre en lisant les autres commentaires aussi, qu'elle pourrait éventuellement changer d'avis (ou non) dans le futur, tout comme quelqu'un qui veut avoir un enfant aujourd'hui pourrait changer d'avis dans le futur. Chacun est libre de faire ce qu'il souhaite de son corps, mais avant tout il ne faut pas préjuger de sa situation et de sa façon de penser dans le futur. Il peut toujours arriver un évènement qui fasse radicalement changer d'avis.

#172. j'avais bien compris..de mon coté je n'ai a aucun moment dit que quelqu’un a dit qu'elle serait forcée d'en avoir.j'ai juste parlé de mon ressenti de la pression sociale exercé sur celles qui n'en veulent pas.Vous conviendrez que la différence est des plus grandes.

J aurais une seule question pour tout ces gens qui nous disent " tu ne veux pas d'enfant, tu changeras d avis, tu ne sais pas de quoi est fait demain": dites vous aussi aux femmes qui veulent des enfants qu elles peuvent changer d'avis car elles ne savent pas de quoi demain est fait?

Je vais parler pour moi, bien que je sais que d'autres seront d'accord. J'ai 30 ans et je ne veux pas d'enfant. Jamais. Pour un tas de raison que je n'exposerais pas ici parce que je n'ai pas à justifier cet état de fait. Parce que c'est ce que c'est, un fait : je ne veux pas d'enfant. Et c'est aussi un fait : je suis sûre de ne jamais changer d'avis. Si je n'étais pas sûre de ce fait et de son caractère définitif, je n'aurais pas eu recours à une solution définitive. Quand je parle de mon non-désir d'enfant, 90% du temps, j'ai des gens qui se veulent respectueux en répondant : ok, mais tu changeras peut-être d'avis. Quand ils disent ça, moi j'entends : ok, tu changeras certainement d'avis, t'es jeune. Ce que les personnes ne voulant pas d'enfant "reprochent" à ceux qui leur dise "tu changera d'avis" (qu'il y ai un peut-être ou pas) c'est que cette phrase, ils ne la diraient jamais à quelqu'un qui dit vouloir des enfants. Vous ne pourriez pas simplement prendre l'info et passer à autre chose ?

UraKn0x : En fait c'est surtout "Après je ressens une certaine amertume dans tes propos, qui laisse entrevoir un passif assez lourd qui est sans doute la cause de ton refus catégorique" qui me hérisse le poil, l'amertume... heu, pour m'a part je voyais surtout de l'agacement (légitime) vis à vis des réactions. C'est vrai c'est comme dans le désir d'avoir un enfant, c'est un amas de petite chose qui font que... Et personne ne dit "Tu doit avoir une lourde expérience pour vouloir un enfant..." Non, on trouve ce désir naturel, et bien l'envie de ne pas en avoir c'est pareil, ça découle de notre vie mais pas forcément d'une expérience marquante, terrible, qu'en sais-je. C'est surtout énervant de voir le nombre de personne nous parlant d'un quelconque changement d'avis lorsqu'on fait part de notre choix, en comparaison de celle qui veulent être mère. Et puis lorsqu'elle parle de vécu ça ne signifie pas qu'elle à un "lourd passif", ça peut faire référence à de la simple observation au cours de sa vie, une réflexion solide qui assoie sont choix, qu'elle soit jeune ou non. Mounliche : J'ai très bien lu, plusieurs fois même pour ne pas m'emmêler les pattes. Il y a une grosse différence entre avoir envie d'être mère et ne pas avoir le choix. Ce n'est pas parce qu'elle aura fait un dénis de grossesse qu'elle aura plus envie d'avoir un enfant (oui parce qu'on parle de volonté de ne pas en avoir mais aussi d'envie). Ce genre de choix, nous le faisons quand nous voulons et il ne s'impose pas seulement lors d'une grossesse, (se demander ce que nous ferions si nous tombions enceinte est une chose courante ) c'est pour cela que dans la plupart des cas la volonté d'avorter coule de source. Je n'ai pas pensée autrement lorsque je me suis retrouvé devant le fait accomplis, j'y avait déjà réfléchis, j'avais déjà envisagé ce cas (ce que font énormément de femme dès lors qu'elle deviennent active sexuellement). On a pas envie d'un enfant comme ça du jour au lendemain, et ce n'est pas non plus une envie latente que l'on a depuis la naissance parce que l'on est de sexe féminin comme le pense trop de monde malheureusement. Le fait d'être enceinte ne fait pas surgir un désir soudain de maternité. Si cette envie il y a, elle apparaît avec le temps, plus ou moins consciemment, on y pense petit à petit ou dans d'autre cas, on y a pas réfléchis et tomber enceinte engage en effet un certain questionnement sur la volonté ou non de poursuivre une grossesse, mais pas lorsqu'on ne veut pas. Lorsqu'on ne veut pas, que l'on sache pourquoi ou non, la petite croix bleu du test, bah... ça reste une petite crois bleu (ou un bâtonnet ou une couleur quelconque ou... quoi que ce soit en fait) et l'avortement est la porte de sortie à cette situation que l'on ne désir pas. Alors oui, se découvrir enceinte c'est pas comme découvrir un grain de beauté sur le poignet, ça suscite parfois des questionnement (pas toujours de ce que j'ai pu entendre et lire en témoignage, loin de là), des prises de conscience sur les capacités de notre corps, de notre condition féminine... C'est vrai, ça fait bizarre de se dire "je peux moi aussi concevoir un petit truc riquiqui qui peut devenir un enfant à terme". C'est pourtant logique tout le monde le sais qu'une femme peut avoir un enfant, mais lorsqu'on est devant ce "fait accomplis" comme tu dis et bah c'est plus concret, c'est sûr, mais quoi qu'il en sois ça n'a rien à voir avec l'envie d'être mère, c'est plus, la découverte de son corps. Avoir la possibilité de faire quelque chose, ne nous donne pas forcément envie de le faire et surtout pas tout à coup comme une envie de chocolat ou de crème glacé. Je me suis toujours dis "dans telle ou telles conditions, si je tombe enceinte, j'avorterais" et c'est ce que j'ai fais, comme pour beaucoup d'autre avant moi et comme beaucoup après, c'était logique, je n'ai pas réfléchis mille ans avant d'entamer les démarches. En fait, je ne me suis même pas poser la question "Est-ce que je le garde ?", c'était non. Non je n'avais pas envie maintenant, je ne voulais pas, pas plus que deux jours, trois semaines, quatre mois auparavant, mais ce n'est pas pour ça que je n'étais pas sûr et certaine de mon choix. En outre, ce qui m'a surtout énervé, ça a été ta comparaison enfant-pot de yaourt (qui tendait à se rapprocher des comparaisons absurde des pro-vie essayant de faire pression sur les femmes avortante) et le fait de prendre l'exemple du dénie dans le suscitement de l'envie.

#78, #146 vous parlez pour votre cas à vous, mais ici, l'auteure ne semble pas être réfractaire à l'idée d'avoir des enfants, elle n'est pas prête à en avoir tout de suite, ce qui n'est pas du même ordre. Pour avoir vécu la même situation, je peux vous dire qu'une grossesse inattendue aide à se sentir beaucoup plus prête d'un seul coup. (Encore une fois, on peut changer d'avis, mais ce n'est qu'une possibilité, pas une obligation, on peut aussi rester sur sa première opinion et avorter prendre la décision d'avorter). #146, #180. Même pour ceux qui ,e désirent pas du tout d'enfant a priori, l'expérience montre que chez certaines personnes, pour des raisons peut-être hormonales (ce qui n'a rien de dégradant), peut-être psychologiques, le fait d'en attendre un peut faire survenir le désir de parentalité, ça arrive. ça arrive à des personnes qui peuvent se révéler de très bon parents par la suite (ça peut également arriver à des hommes ...) Peut-être que ça ne vous est pas arrivé à vous, et ce n'est en aucun cas une fatalité, mais ça arrive, et ce n'est pas si surprenant que ça... C'est sans doute justement le côté catégorique de certains propos qui a fait réagir. Quand on dit "jamais au grand jamais", quelque soit le sujet, on s'expose forcément à des réponses du genre, "on ne peut pas préjuger de l'avenir", ce qui est sans doute vrai, mais que l'on a pas envie d'entendre. Je pense qu'il ne faut pas voir de sexisme là dedans, la même remarque serait sans doute faite à un homme qui crierait haut et fort sa volonté inexorable de ne pas avoir d'enfant, à une personne qui voudrait obstinément 3 enfants alors qu'elle ne sait pas ce que c'est que d'en avoir un, ou encore à quelqu'un qui a toujours détesté l'ail et qui prétend que JAMAIS ne pourra en avaler...

Vous avez bien raison. Dès l'enfance j'ai su que je ne voudrais jamais d'enfant et 50 ans plus tard je n'ai pas changé d'avis. Ca ne m'a pas empêché de vivre heureuse avec mon mari et sans le priver.

Poisson d'avril. En octobre. La logique à l'état pur.

Ou qu'elle puisse encore faire une IVG si elle veut pas les garder. Et si elle les garde, qu'elle puisse discuter avec le père sans forcément qu'ils se remettent ensemble. Oui, oui, ça arrive des parents qui garde un enfant né d'une liaison "passagère" et qui s'entendent super bien sans se mettre en couple et qui gèrent très bien leur rôle parental dans le respect des besoins de l'enfant et des leurs.

J'aimerai bien connaître les couples séparés qui s'entendent bien pour élever leurs enfants. Jusqu'à maintenant j'en ai jamais vu et c'est bien triste.

J'ai vu de tout dans le spectre allant de la guerre ouverte à l'entente parfaite (à se demander pourquoi les parents n'étaient pas/plus en couple). Je vous assure que ce n'est pas si rare les parents qui s'entendent bien (même avec des recompositions, j'ai le souvenir d'un père disant qu'il n'avait pas meilleur allié que le nouveau compagnon de son ex puisqu'il était dans la même situation^^)

Ma soeur et son ex gardent d'assez bon termes lorsqu'il s'agit de la garde ou de l'éducation de leur fille

Je trouve ça fabuleux les personnes qui réussissent à s'entendre aussi bien et surtout les ex-conjoints(es) avec les nouveaux(lles) , ce qui est rare quand même et qui n'arrivera probablement jamais chez moi.

Son corps a elle aussi... seule sa tete ne l'est/etait pas!