Non merci

Par lysandres - 14/09/2011 13:14 - France

Aujourd'hui, j'attends l'ascenseur dans le hall d'entrée de mon HLM. Lorsqu'il s'ouvre, ma voisine de palier, super mignonne, entre dans l'immeuble. Je décide donc de retenir les portes afin qu'elle puisse monter avec moi. Elle me fixe, puis décide de prendre les escaliers. On habite au douzième. VDM
Je valide, c'est une VDM 59 790
Tu l'as bien mérité 6 175

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Top commentaires

Les plaisirs des ascenseurs en solo. Grand moment de solitude ..

Commentaires

Tigunn 5

y a des cas partout et de tous les genres; mais qui a les tord, on manque d'infos; mon point de vue de mâle, me pousserait plutôt à pointer du doigt la fille (oui, c'est pas bien je sais; mais se taper 12 étages à pieds pour ne pas partager l'ascenseur c'est tordu, voilà). L'argument "oh je veux pas qu'il me reluque?" est bancale puisqu'une jolie fille aura tj des admirateurs et ce, de partout. Je pense donc que tu avais ta tête de psycho (yeux exorbités, bouche ouverte, bave aux commissures); et là, son comportement se comprend. Dans le cas contraire, laisse la marcher ça lui fera les pieds :p

Parola 8

Peut-être est-elle tout simplement claustrophobe. Je sais de quoi je parle ^^. Ou désireuse d'entretenir sa ligne. Ou bien voulait-elle éviter la confrontation, dans l'ascenseur, mais surtout sur le palier. Certes, une jolie fille a toujours des admirateurs, mais supporter ou apprécier les regards, les compliments dans la rue, dans une soirée ... n'est pas la même chose qu'être coincée dans un espace confiné avec quelqu'un à qui tu plais, mais qui ne te plais pas ...

Mavie78 0

À ba sa veu tout dire ... Tu ne lui plai pas ou alors elle est timide

Qu est ce que tu lui as fait? T es pas tout blanc à mon avis

Au rez-d'-chaussée, dans mon HLM Y'a une espèce de barbouze Qui surveille les entrées, Qui tire sur tout c' qui bouge, Surtout si c'est bronzé, Passe ses nuits dans les caves Avec son Beretta, Traque les mômes qui chouravent Le pinard aux bourgeois. Y s' recrée l'Indochine Dans sa p'tite vie d' peigne cul. Sa femme sort pas d' la cuisine, Sinon y cogne dessus. Il est tellement givré Que même dans la Légion Z'ont fini par le j'ter, C'est vous dire s'il est con ! Putain c' qu'il est blême, mon HLM ! Et la môme du huitième, le hasch, elle aime ! Au premier, dans mon HLM, Y'a l' jeune cadre dynamique, Costard en alpaga, C'ui qu'a payé vingt briques Son deux pièces plus loggia. Il en a chié vingt ans Pour en arriver là, Maintenant il est content Mais y parle de s' casser. Toute façon, y peut pas, Y lui reste à payer Le lave vaisselle, la télé, Et la sciure pour ses chats, Parc' que naturellement C' bon contribuable centriste, Il aime pas les enfants, C'est vous dire s'il est triste ! Putain c' qu'il est blême, mon HLM ! Et la môme du huitième, le hasch, elle aime ! Au deuxième, dans mon HLM, Y'a une bande Au rez-d'-chaussée, dans mon HLM Y'a une espèce de barbouze Qui surveille les entrées, Qui tire sur tout c' qui bouge, Surtout si c'est bronzé, Passe ses nuits dans les caves Avec son Beretta, Traque les mômes qui chouravent Le pinard aux bourgeois. Y s' recrée l'Indochine Dans sa p'tite vie d' peigne cul. Sa femme sort pas d' la cuisine, Sinon y cogne dessus. Il est tellement givré Que même dans la Légion Z'ont fini par le j'ter, C'est vous dire s'il est con ! Putain c' qu'il est blême, mon HLM ! Et la môme du huitième, le hasch, elle aime ! Au premier, dans mon HLM, Y'a l' jeune cadre dynamique, Costard en alpaga, C'ui qu'a payé vingt briques Son deux pièces plus loggia. Il en a chié vingt ans Pour en arriver là, Maintenant il est content Mais y parle de s' casser. Toute façon, y peut pas, Y lui reste à payer Le lave vaisselle, la télé, Et la sciure pour ses chats, Parc' que naturellement C' bon contribuable centriste, Il aime pas les enfants, C'est vous dire s'il est triste ! Putain c' qu'il est blême, mon HLM ! Et la môme du huitième, le hasch, elle aime ! Au deuxième, dans mon HLM, Y'a une bande d'allumés Qui vivent à six ou huit Dans soixante mètres carrés, Y'a tout l' temps d' la musique. Des anciens d' soixante-huit, Y'en a un qu'est chômeur Y'en a un qu'est instite Y'en a une, c'est ma soeur. Y vivent comme ça, relax Y'a des mat'lats par terre, Les voisins sont furax; Y font un boucan d'enfer, Y payent jamais leur loyer, Quand les huissiers déboulent Y écrivent à Libé, C'est vous dire s'ils sont cools ! Putain, c' qu'il est blême, mon HLM ! Et la môme du huitième, le hasch, elle aime !

Au rez-d'-chaussée, dans mon HLM Y'a une espèce de barbouze Qui surveille les entrées, Qui tire sur tout c' qui bouge, Surtout si c'est bronzé, Passe ses nuits dans les caves Avec son Beretta, Traque les mômes qui chouravent Le pinard aux bourgeois. Y s' recrée l'Indochine Dans sa p'tite vie d' peigne cul. Sa femme sort pas d' la cuisine, Sinon y cogne dessus. Il est tellement givré Que même dans la Légion Z'ont fini par le j'ter, C'est vous dire s'il est con ! Putain c' qu'il est blême, mon HLM ! Et la môme du huitième, le hasch, elle aime ! Au premier, dans mon HLM, Y'a l' jeune cadre dynamique, Costard en alpaga, C'ui qu'a payé vingt briques Son deux pièces plus loggia. Il en a chié vingt ans Pour en arriver là, Maintenant il est content Mais y parle de s' casser. Toute façon, y peut pas, Y lui reste à payer Le lave vaisselle, la télé, Et la sciure pour ses chats, Parc' que naturellement C' bon contribuable centriste, Il aime pas les enfants, C'est vous dire s'il est triste ! Putain c' qu'il est blême, mon HLM ! Et la môme du huitième, le hasch, elle aime ! Au deuxième, dans mon HLM, Y'a une bande d'allumés Qui vivent à six ou huit Dans soixante mètres carrés, Y'a tout l' temps d' la musique. Des anciens d' soixante-huit, Y'en a un qu'est chômeur Y'en a un qu'est instite Y'en a une, c'est ma soeur. Y vivent comme ça, relax Y'a des mat'lats par terre, Les voisins sont furax; Y font un boucan d'enfer, Y payent jamais leur loyer, Quand les huissiers déboulent Y écrivent à Libé, C'est vous dire s'ils sont cools ! Putain, c' qu'il est blême, mon HLM ! Et la môme du huitième, le hasch, elle aime ! Au troisième, dans mon HLM; Y'a l'espèce de connasse, Celle qui bosse dans la pub', L'hiver à Avoriaz, Le mois d' juillet au Club. Comme toutes les décolorées, Elle a sa Mini-Cooper, Elle allume tout l' quartier Quand elle sort son cocker. Aux manifs de gonzesses, Elle est au premier rang, Mais elle veut pas d'enfants Parc' que ça fait vieillir, Ca ramollit les fesses Et pi ça fout des rides, Elle l'a lu dans l'Express, C'est vous dire si elle lit ! Putain c' qu'il est blême, mon HLM ! Et la môme du huitième, le hasch, elle aime ! Au quatrième, dans mon HLM, Y'a celui qu' les voisins Appellent " le communiste ", Même que ça lui plaît pas bien, Y dit qu'il est trotskiste ! J'ai jamais bien pigé La différence profonde, Y pourrait m'expliquer Mais ça prendrait des plombes. Depuis sa pétition, Y'a trois ans pour l' Chili, Tout l'immeuble le soupçonne A chaque nouveau graffiti, N'empêche que, Mort aux cons Dans la cage d'escalier, C'est moi qui l'ai marqué, C'est vous dire si j'ai raison Putain c' qu'il est blême, mon HLM Et la môme du huitième, le hasch, elle aime Pi y'a aussi, dans mon HLM, Un nouveau romantique, Un ancien combattant, Un loubard, et un flic Qui s' balade en survêtement Y fait chaque jour son jogging Avec son berger allemand, De la cave au parking, C'est vachement enrichissant. Quand j'en ai marre d' ces braves gens J' fais un saut au huitième Pour construire un moment Avec ma copine Germaine, Un monde rempli d'enfants. Et quand l' jour se lève On s' quitte en y croyant, C'est vous dire si on rêve Putain c' qu'il est blême, mon HLM Et la môme du huitième, le hasch, elle aime ! Je vous prie d'ignorer mon précédent commentaire que j'ai envoyé par inadvertance