Mon corps est un temple
Par Corwin - 29/05/2023 16:20 - France - Rennes
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Par Anonyme - 16/09/2022 22:22 - France - Nantes
Par legrandtotoro - 16/03/2011 16:14 - France
Par Mathieu - 07/06/2024 12:20 - France
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Par "ghost92700" - 12/10/2019 09:30
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Par Maxime Borger - 10/01/2020 06:30
Par Biohazard059 - 17/02/2018 14:00 - France - Saint-pol-sur-mer
Par Anonyme - 30/12/2020 22:23 - France - Lunéville
Elle sait être "mère", maintenant, elle doit apprendre à aussi être "femme"
Ah oui, parce qu'être "femme" c'est avant tout satisfaire le désir de son mari, qu'on y consente ou non 🙄
Etre femme c'est, entre autre, s'épanouir dans son corps de femme. Et de ce point de vue là, la sexualité me semble être une composante non négligeable. Rien a voir avec le fait de "satisfaire le désir de son mari". Je dirais d'ailleurs la même chose d'un homme. Un mec sans sexualité n'est peut-être pas complément épanoui...
On peut très bien être épanoui/e sans avoir de sexualité active.
Oui, comme on peut faire des gâteaux sans sucre. Tout est possible mais de là à dire qu'on ne voit pas le rapport entre être une femme (par opposition à être une mère) et la sexualité, c'est être un peu de mauvaise foi, non?
Avec toute la bonne foi du monde, je ne vois pas de rapport entre "être une femme" et "avoir une sexualité". Si tu es asexuelle, et/ou que le sexe n'est pas nécessaire à ton épanouissement, tu n'es pas une femme ?
Toi je t'aime bien (sans ironie), tu réponds sans agressivité et tu as des arguments sur lesquels on peut discuter... Donc, pour le plaisir de la discussion, je dirais qu'on peut être humain sans sexualité, que dans des cas relativement rare et (pour les quelques exemples que je connais personnellement) souvent du fait d'un traumatisme, on peut être asexuel mais tout de même féminine (j'imagine qu'il doit aussi être possible pour un homme d'être viril sans sexualité), mais cela ne me semble pas suffisamment répandu pour qu'on en arrive à nier le lien entre l'identité de genre et la sexualité. Se serait comme nier le lien entre l'enfance et le besoin de jouer, sous prétexte que certains enfants ne jouent pas... Et bien entendu, on peut être femme sans avoir de sexualité. Je dis juste que cette possibilité ne suffit pas à décréter qu'il n'y a pas de lien entre les deux... Suis-je plus clair?
Je suis agressif parce que tu es insultant de fait, même sans t'en rendre compte. Le propos que tu tiens, j'en lis trop régulièrement, je l'entends trop régulièrement, donc ouais, ça m'énerve que des gens qui ne sont visiblement pas plus renseignés que ça sur un sujet viennent sortir des dingueries et ensuite se plaignent quand on leur faire remarquer, parce que "c'est une exception". Mais du coup, comme j'ai des mots un peu plus haut que d'autres, je comprends, mes arguments ne sont plus du tout recevables, et ça annule le fond de tout ce que je dis. La forme est bien plus importante, c'est bien connu. Concernant les liens entre genre et sexualité, il n'y en a pas. La sexualité qu'on calque sur les genres a beaucoup évolué. On a considéré à certaines époques qu'une femme avait une très forte libido et que l'homme devait céder à celle-ci, lui qui était au-dessus de ça. A d'autres, on a considéré l'inverse. Aujourd'hui, on considère une libido plus masculine, mais en même temps il faut impérativement que les femmes couchent, mais pas trop. On peut avoir n'importe quel genre (homme, femme, spectre non-binaire) avec n'importe quelle orientation (hétéro, ****, bi, ace).
C'est vrai, on peut plus rien dire. Donc quand on compare à la normalité c'est parce qu'on manque de respect aux cas exotiques et cela justifie votre courroux si je résume. Que la rareté puisse être considérée avec la même importance que la normalité n'a rien de ridicule en soi, mais on dirait que vous aimez à penser que pour qu'un avis soit valable, il faut qu'il soit jeté à la tronche des autres. En soi, là-dessus, je vous rassure : vous n'avez rien d'original.
Ah non, juste que la norme, ça veut trop rien dire, c'est rien de plus qu'une construction sociale et c'est de la d, mais bon, si ça peut te rassurer de considérer qu'elle existe. On peut étudier les sytèmes qui conduisent à cette norme, ce que ça implique de considérer que telle ou telle chose c'est la norme, au-delà de ça, ça ne vaut rien. Et justement, un avis jeté à la tronche des gens, ça va dépendre du contexte. je t'avoue que tous les petits blaireaux d'extrême-droite, ou les capitalistes qui balancent le même avis partout en prétendant que c'est la vérité (j'dis aps c'est ce qu'il s'est passé ici, j'espère tu sais lire les parenthèses), en osant dire qu'ils sont respectueux alors qu'ils insultent tout le monde, n'y connaissent rien et s'en foutent des autres, ouais, j'considère pas que c'est un avis valable, et c'est d'autant plus énervant qu'on le croise partout. Mais je te rassure, j'ai pas dit qu'j'étais original, par contre, avec ton intro tu te fond dans la masse mais de ouf, et visiblement on peut dire un peu ce qu'on veut, la preuve, t'as pu parler pour ne rien dire.
Ah, ben j'connais des gens qui visiblement ne sont ni des hommes ni des femmes, mais sont même pas non-binaires, dingue ce que ça peut faire l'asexualité! C'est notre caractère divin ça, désolé pour toi que tu sois si limité et que tu ne puisses pas voir au-delà de tes petites frustrations personnelles.
Oh que de vilains mots... Et c'est toi qui parle de frustration??? Enfin, je vais être indulgent, nous sommes sur internet après tout. Je vais même faire l'effort de re-expliquer mes propos (oui, je crois encore à la vertu de la pédagogie, je dois être de la vieille école) 1) Tout est possible (notamment l'asexualité) 2) Dire qu'on en voit pas le rapport entre être "une femme" (encore une fois, en opposition avec le fait d'être une mère) et avoir une sexualité c'est soit être de mauvaise foi (on sait que dans un nombre non négligeable de cas ce rapport existe mais on refuse de l'admettre pour avoir le dernier mot), soit être stupide (on ne comprend pas que les exceptions n’empêchent pas l'existence d'une règle générale)
Parce qu'une mère ne peut pas coucher? Je te conseille d'aller écouter Anne Sylvestre tiens, "Maman elle est pas si bien que ça". C'est toi qui définis la femme par le fait de coucher. Donc de fait, ce faisant, tu exclues des femmes toute personne ne couchant pas. Je ne suis pas de mauvaise foi, c'est ce que tu dis, mais visiblement tu ne maîtrises pas bien le sens des mots. Et une exception, quand on compte les personnes qui n'aiment pas coucher, qui n'en ont pas besoin ou pour qui c'est juste osef (et je connais des gens qui ne sont pas asexuel'les et qui sont dans ce cas-là hein), cette exception elle devient large. Une exception qui remet en cause le sens des mots, et certains éléments centraux de notre société, ça demande une redéfinition et une évolution des mots et des considération, plutôt que de tout cacher et d'invisibiliser un sacré nombre de personnes au nom d'une soi-disant exception.
Où ai-je dit qu'une femme devait couché? Que sans sexe on n'était exclu de la gent féminine (et j,insiste lourdement, qu'une homme ne couchant pas serait exclus de la même façon???? Où, franchement, je te le demande? Toi qui sembles apporter de l'importance au sens des mots. J'ai juste dit que nier le lien possible entre genre et sexualité était stupide. Quant à la proportion d'asexualité, même si cela représentait une majorité des gens, tant que certaines femmes et certains hommes s'épanouirons entre autre par ce biais, il y aura un lien. On pourra alors le résumer par "pour certaines personnes, être Femme/Homme passe notamment par la sexualité". Nier cela est, je le maintiens, soit de la mauvaise foi, soit de la stupidité (ou alors une forme d'endoctrinement) Voila, je ne peux pas être plus clair
Quand tu dis: "Etre femme c'est, entre autre, s'épanouir dans son corps de femme. Et de ce point de vue là, la sexualité me semble être une composante non négligeable." on doit l'entendre comment? Ou ça encore: "Tout est possible mais de là à dire qu'on ne voit pas le rapport entre être une femme (par opposition à être une mère) et la sexualité, c'est être un peu de mauvaise foi, non?" Au regard de ces propos, quand tu dis "Où ai-je dit qu'une femme devait couché?", c'est toi qui me semble un tantinet de mauvaise foi. Alors certes, la sexualité ne se limite pas à "coucher", tu peux remplacer le terme "coucher" par celui qui te semble plus approprié. Et du coup, si c'était l'inverse et qu'il y avait une majorité de personnes ace, on ne pourrait pas parler d'exception pour les personnes non-asexuelles? C'est un peu du double standard, tu ne trouves pas? Mais pour répondre à ta question: oui, pour certaines personnes, vivre leur genre va passer par la sexualité. Ca n'en fait pas une vérité générale contrairement à ce que tes propos semblent dire.
Etre femme c'est, entre autre, s'épanouir dans son corps de femme. Et de ce point de vue là, la sexualité me semble être une composante non négligeable." on doit l'entendre comment? Déjà, on prend en considération le "entre-autre" et le "non négligeable". Il y a d'autre façon de s'approprier son corps (le sport, la méditation...) "Tout est possible mais de là à dire qu'on ne voit pas le rapport entre être une femme (par opposition à être une mère) et la sexualité, c'est être un peu de mauvaise foi, non?" Là encore, je pensais être clair. "Tout est possible". Notamment être femme et ne pas avoir de sexualité (et idem pour les hommes, bordel, pourquoi vous nous excluez toujours de ce débat...), mais cette possibilité n’empêche pas que dans un nombre non négligeable de cas ce lien existe. Ni plus, ni moins Ca n'en fait pas une vérité générale contrairement à ce que tes propos semblent dire. Peut-être pas générale (quoiqu'il faudrait définir ce qu'on entend par général), mais loin d'être minoritaire... Après, si tu as des chiffre précis, ça pourrait m’intéresser (sérieusement)
Là il y a des arguments qui me parlent plus. 1) effectivement la forme compte pour beaucoup, c'est ainsi, ça fait parti de la communication. 2) je suis désolé si tu me trouve insultant. Moi aussi j'en est un peu marre de certain propos que je trouve parfois excessif , mais ce dois être une question de génération... Il y aurait beaucoup à dire et peut-être même qu'on finirai par se comprendre (en fait je suis très tolérant sur ces questions, beaucoup plus que ce que je donne apparemment à penser) 3) je suis plus renseigné que tu ne le crois (j'ai notamment une fille asexuelle et pan-romantique, et crois moi, elle m'a bien briefée) 3) sur l'absence de lien genre/sexualité, je crois qu'on arrivera pas à se mettre d'accord. Je reprécise juste, au cas où, que mon propos n'a jamais été "sans sexualité, pas de genre" mais plutôt "Dans un nombre non négligeable de cas, ce lien existe) 4) tout a fait d'accord sur le fait que la sexualité et les genres changent (surtout en ce moment) et qu'on peut avoir n'importe quel genre avec n'importe quelle orientation. Et, encore une fois, toute mes excuses si j'ai paru insultant, ce n'était pas mon intention...
1) Tout à fait d'accord, ça en fait partie, mais s'arrêter là-dessus c'est parfois (souvent?) passer à côté du fond, d'autant plus que comme je l'ai dit il peut y avoir des raisons de s'énerver ou d'être agressifs, qui peuvent aller de l'habitude de lire ou entendre certaines choses à une mauvaise gestion de la colère ou de la frustration ou etc. Je m'en excuse par ailleurs, je suis justement un peu mal luné'e aujourd'hui, et la suite de commentaires ayant commencé par l'autre qui a dit qu'il "fallait apprendre à être une femme", ça n'a pas aidé à la tempérance. 3) Ca arrive tout à fait, c'est parfois le cas, parfois les deux sont décorrélés. Certaines personnes ont besoin d'une sexualité pour se sentir bien dans leur genre, d'autres absolument pas, ce qui ne les empêche pas pour autant d'avoir une sexualité, certaines personnes vont lier leur identité de genre et leur orientation (ou vis et versa), là où pour d'autres ça va être deux sujets totalement distincts. Ca me semble donc délicat a minima de lier les deux de manière péremptoire, et également de définir le fait d'être femme par ça, même en opposition à la "mère", qui n'en est pas moins une femme (et d'ailleurs, ça vaut pour quelque parent que ce soit). Comme je le disais, c'est des choses que je peux lire régulièrement, et ça a tendance à m'agacer, désolaé'e également si j'ai été excessivement agressif'e.
Pas de soucis. Le sujet est polémique et échanger par commentaires interposés ne fait pas honneur à la complexité de la chose. Assez d'accord avec beaucoup de chose que tu dis dans ce dernier message (et choqué aussi par le "Elle doit apprendre à être femme") Je propose qu'on en reste là et sans rancune. On aura sans doute l'occasion de polémiquer de nouveau sur d'autres VDM
Par contre, pour ce qui est de la formulation "elle doit apprendre à être femme", je ne suis effectivement pas d'accord. La sexualité reste un choix, elle ne DOIT rien...Si ce n'est en discuter avec son mari... Pour tout dire, j'ai vécu un peu la même chose (en plus progressif mais avec le même résultat). Lorsque j'ai abordé le sujet un peu sérieusement, Madame m'a répondu qu'elle ne pouvez pas, qu'elle avait un blocage, mais qu'elle comprendrait que je la quitte. Je suis resté, d'une part car je l'aimais et que le sexe n'est pas tout, d'autre part pour épargner un divorce à mes enfants. Etant par nature fidèle (oui, ça existe), j'avais donc fait le deuil de ma sexualité... Quelques années après (4 ou 5 ans je dirais), c'est finalement madame qui m'a quittée (pour aller du coté de la gent féminine, comme quoi la sexualité avait tout de même un rôle dans son équilibre). Ce fut littéralement une libération et j'ai maintenant une vie pleinement épanouie (car oui, pour ma part, la sexualité fait partie de mon épanouissement) avec une femme que j'aime de tout mon cœur et de tout mon corps...
elle n'a peut être pas envie d'être enceinte une troisième fois/ voyez avec elle si avec une vasectomie elle serait ok pour jouer à nouveau ^^
C'est un peu chercher midi à quatorze heures. L'explication la plus évidente et probable est qu'elle n'a tout simplement pas de désirs sexuels, et non qu'elle les refoule par peur de tomber à nouveau enceinte.
Et au début c’était comment ?
C'est moi ou c'est un peu tard pour poster une VDM non ? Il eut fallu réagir plus tôt plutôt que t'attendre si longtemps
Si votre femme ne veut pas avoir de rapports sexuels, vous pouvez faire une demande de divorce pour faute, car c’est le non-respect d’un des devoirs du mariage.
Heu au siècle dernier peut être, mais maintenant c’est le viol conjugal qui est une faute… Par contre il a le droit de divorcer sans raison particulière et sans culpabiliser sa femme mais le mieux c’est peut être d’en discuter avant
Le devoir conjugal n’est pas un viol et est toujours d’actualité. Ensuite je vous la fais courte c’est bien sûr plus nuancé que cela. Mais de fait une longue absence de relations sexuelles sans bonne raison peut aboutir à un divorce pour faute.
Sources???
Beh c'est totalement stupide. Accessoirement, si, imposer à quelqu'un de coucher au nom du devoir conjugal, c'est du viol, par définition.
je suis juriste et je vous confirme que vous dites n'importe quoi. il n'y a aucun "devoir conjugal " sauf dans les fantasmes de macho arriérés et sûrement aucune disposition légale de quelle que sorte que ce soit qui vous oblige à avoir des rapports sexuels. donc pas de divorce pour faute même par suite d'une longue absence de relations sexuelles. arrêter de regarder les films à la télé et respecter la stricte liberté de chacun de faire ce qu'il souhaite de son corps.
Je compatis, je suis malheureusement dans la même situation. ceinture depuis 10 ans....
J'espère qu'elle l'autorise à aller voir ailleurs, le pauvre, je le plaines !
Mots-clés
vous devez etre super amoureux pour être resté avec. ou alors libido pas trop développée non plus?
En même temps, si elle n'a pas envie et que ça ne l'intéresse pas, elle ne va pas se forcer.