Lundi

Par Anonyme - 20/10/2020 07:07 - France - Verdun

Aujourd'hui, entretien annuel. Après 2 ans de harcèlement d'un collègue, je craque devant mon chef pendant 2 heures. L'info remonte au directeur local, qui vient me voir. Conclusion : c'est de ma faute, car selon lui mon manque d'implication ouvre la porte aux commérages, c'est à moi de me bouger. VDM.
Je valide, c'est une VDM 5 991
Tu l'as bien mérité 507

Poupoupipidou nous en dit plus

Oh, alors je vais dire que ma p'tite larme c'est pour la joie d'avoir été enfin publiée ! Hein. La situation est toujours d'actualité, et je crois que j'ai posté pour essayer d'évacuer un trop trop-trop plein. Non, je ne suis pas une branleuse, du tout. Je suis responsable commercial d'un secteur départemental. J'ai été embauchée pour piloter l'activité commerciale qui était à hauteur de 100, et aujourd'hui à cause d'une crise sanitaire, on commercialise 350. Enormément de pression, de boulot, une multiplication des clients, une complexification des dossiers clients... Le collègue en question gère la production, donc ce que je moi je vends. On devrait donc travailler au quotidien main dans la main, sauf que c'est juste impossible. Pourquoi ? Parce que je pense ce collègue pervers narcissique (même si y'a débat sur ce terme de manière globale), car il prend un malin plaisir à raconter tout et n'importe quoi sur ses cibles pour les démonter. J'ai pris ce taf après une période de chômage compliquée, et j'ai traversé la France en laissant tout derrière pour rebondir. Ce collègue est sur place depuis presque 50 ans (son age) et est "supra pote" avec "tout le monde". Donc semer des peaux de bananes à tout va est extrêmement facile pour lui. De mon côté, trois choses ne jouent pas en ma faveur à ses yeux : 1/ je suis une femme plus jeune, plus diplômée (ingénieur) et plus haut dans la hiérarchie (le collègue est anti-hiérarchie), 2/ j'ai une personnalité opposée à la sienne, à savoir timide, introvertie, bosseuse en silence (je ne dis pas que je fais alors que je fais) et 3/ depuis mi 2019 avec en point d'orgue août 2020 j'ai eu un très violent effet boomrang de la vie qui a fini de détruire le peu de confiance en moi qui pouvait me rester. Pour ceux qui lisent les presque-VDM, c'était un truc glauque suite à quoi je cherchais du réconfort auprès de ma mère :)

Top commentaires

envoie un mail a ton directeur et au rh qui t'a dit cela en commençant par (suite a notre entretien du xxxxxx j'ai boen compris que je suis a vos yeux responsable du harcèlement dont je fais preuve depuis 2 ans par M......)....puis contacte l'inspection du travail et va voir aussi la médecine du travail. enfin envoie aussi ton mail au chsct ou représentant du personnel. tu verras, ça va bien les remettre en place.... et courage surtout ne lâche pas

Fuis très loin de cet endroit et de ces gens.

Commentaires

C'est même plus une VDM a ce niveau là je compatis

Une chose à faire si tu veux quitter ton travail sans démissionner c’est abandon de poste ton boss te vires et tu ne perds ton droit aux allocations

podalirios 4

Pas forcément une bonne idée. Si le patron ne la remplace pas, il ne la licencie pas, elle n'est pas payée et n'a pas droit au chômage. Super plan...

Ok on a pas tous les éléments . Peut-être effectivement l'auteur manque de sérieux mais dans ce cas pourquoi attendre 2 ans pour lui en faire la remarque ? Rien ne justifie le harcèlement ! Quand bien même il y a des tords partagés (c'est souvent le cas ), ça ne justifie en rien de s'acharner sur une personne jusqu'à la détruire psychologiquement . Si ton collègue ne fait pas son boulot correctement et que ça te porte préjudice , tu lui dis une fois , deux fois, la troisième tu mets votre supérieur dans la boucle . Tu t'acharnes pas sur la personne pendant 2 ans en espérant que ça la fasse changer. Si son chef était au courant d'un problème d'implication , il lui en aurait parlé immédiatement lors de l'entretien et ça aurait pas fait l'objet d'une enquête interne.

Oh, alors je vais dire que ma p'tite larme c'est pour la joie d'avoir été enfin publiée ! Hein. La situation est toujours d'actualité, et je crois que j'ai posté pour essayer d'évacuer un trop trop-trop plein. Non, je ne suis pas une branleuse, du tout. Je suis responsable commercial d'un secteur départemental. J'ai été embauchée pour piloter l'activité commerciale qui était à hauteur de 100, et aujourd'hui à cause d'une crise sanitaire, on commercialise 350. Enormément de pression, de boulot, une multiplication des clients, une complexification des dossiers clients... Le collègue en question gère la production, donc ce que je moi je vends. On devrait donc travailler au quotidien main dans la main, sauf que c'est juste impossible. Pourquoi ? Parce que je pense ce collègue pervers narcissique (même si y'a débat sur ce terme de manière globale), car il prend un malin plaisir à raconter tout et n'importe quoi sur ses cibles pour les démonter. J'ai pris ce taf après une période de chômage compliquée, et j'ai traversé la France en laissant tout derrière pour rebondir. Ce collègue est sur place depuis presque 50 ans (son age) et est "supra pote" avec "tout le monde". Donc semer des peaux de bananes à tout va est extrêmement facile pour lui. De mon côté, trois choses ne jouent pas en ma faveur à ses yeux : 1/ je suis une femme plus jeune, plus diplômée (ingénieur) et plus haut dans la hiérarchie (le collègue est anti-hiérarchie), 2/ j'ai une personnalité opposée à la sienne, à savoir timide, introvertie, bosseuse en silence (je ne dis pas que je fais alors que je fais) et 3/ depuis mi 2019 avec en point d'orgue août 2020 j'ai eu un très violent effet boomrang de la vie qui a fini de détruire le peu de confiance en moi qui pouvait me rester. Pour ceux qui lisent les presque-VDM, c'était un truc glauque suite à quoi je cherchais du réconfort auprès de ma mère :)

Mon chef ne m'a jamais dit que mon taf n'était pas bien, insuffisant, manquant de réactivité... rien de tout ça. Par contre, pour le collègue, ce que je fais n'est jamais assez bien, jamais assez percutant, jamais assez ... ce que vous voulez. Il m'a détruit auprès de plusieurs collègue, a raconté des trucs ignobles sur moi qui me sont revenus indirectement, j'ai entendu (le malheur des oreilles jeunes qui fonctionnent) des messes basses assassines... Et vu ma fragilité actuelle, j'ai tout pris en pleine gueule. Mon chef est au courant, mais je ne crois pas qu'il mesure l'impact. Le chef local est au courant, mais se fait avoir par les on-dit et le "elle en glande pas une". J'ai alerté les RH en disant que j'étais du genre à serrer les dents jusqu'à craquer, et que c'était un appel à l'aide avant un burn out. J'avais demandé un autre poste, ailleurs géographiquement l'an dernier, que je n'ai pas eu. Je regarde actuellement pour un autre dans la même boite. Les RH doivent m'accompagner pour m'apprendre à mieux gérer ce genre de situation. Il est hors de question pour moi, même au cas où j'essuierais un nouveau refus de mutation, d'investir de l'énergie pour améliorer les choses avec ce collègue. Il est viscéralement toxique, et ça serait de l'énergie dépensée en vain.

J'ai... plusieurs questions. Ok, vous avez 3.5x plus de commande. Mais, statistiquement parlant, tu en vends plus que les autres ? Ou moins ? Ou vous êtes tous au même niveau ? Si tant que vous soyez plusieurs à vendre. Que dise tes collègues de ce fameux collègue ? Ils approuvent les "commérages" ? Je mets entre guillemets, car, bah, en fait, tu as peut-être l'impression de bien bosser mais en fait ce n'est têtre pas le cas ... Désolé, mais c'est une option à prendre en compte (pour moi). J'ai déjà eu le cas dans mon service. Un mec qui ne faisait pas du bon boulot, on lui a dit plusieurs fois. On lui a expliqué comment s'améliorer, une fois, deux fois. À la 3ème, tu te doutes bien que le ton monte. À la quatrième fois en deux mois, il a eue une belle mise à pied disciplinaire. Il a hurlé au harcèlement en prétextant qu'il faisait du bon boulot et que c'était nous (les autres membre de mon service et moi) qui ne voyaient pas son bon travail. Il a essayé de menacer et il s'est fait virer. Par contre, Je n'ai pas laissé traîné 2 ans ... Là, je comprends le ras le bol puissance 2000. Alors, je veux bien te croire de bon cœur et je compatis à tes divers problèmes, cependant, et ne m'en veut pas de ne pas écrire que « c'est un vilain con ! Il abuse, etc. » car finalement il est impossible de savoir qui dit vrai avec juste une vdm de quelques mots et une explication de quelques lignes. Malgré tout, je vois bien que tu en as gros. Peut-être devrais-tu prendre du repos, peut-être voir un médecin et lui en parler ?

Mmm ok. Maintenant ce qui est clair pour moi c’est que ça ne va vraiment pas pour toi. Alors action!! 😊 -Tu as bien fait de signaler que tu frôlais le burn-out, au moins ils sont prévenus. -Vas voir un médecin, explique lui bien la situation et fais toi arrêter minimum 15 jours. Ne culpabilise pas hein, tu en as parfaitement le droit et visiblement tu en as besoin... -Profites de tes jours d’arrêts pour te reposer « la tête ». Fais ce que tu aimes/veux, ne pense plus au taf mais ne végète pas inutilement: -Contacte un CMP ou un psy privé (payant), prends un rdv URGENT en expliquant encore une fois la situation et: -Balances tout ce que tu as sur le cœur/dans la tête!!! 😊 ça ne te fera pas de mal de parler, tu prendra du recul et verra ta situation de façon plus objective et surtout tu aura une oreille (voire même deux 🤣) professionnelle, neutre qui t’aidera à prendre conscience de ce qui ne va réellement pas et t’aidera à trouver les outils pour t’en sortir. -Ça n’engage que moi mais tu as raison: bien ou mal, ce mec ne changera pas. Les gens ne changent pas. A toi de voir si tu veux le gérer ou pas. 😊 allez courage! Rien ne dure, ça va s’arranger d’une façon ou d’une autre, si tu le veux.

Kinvald 46

Avec les nouveaux éléments, nous avons une vision plus large. Première chose à faire. À travers tes deux commentaires, je ressens une longue fatigue. C'est un signe évident de dépression. Attention. Il ne faut pas prendre ça à la légère. Première chose qu'il faudrait que tu fasses, c'est d'aller voir un médecin du travail ou ton médecin. Car ce dernier à un rôle important. Même si le médecin n’est pas qualifié juridiquement pour te déclarer inapte en raison de harcèlement moral, il pourra la présumer. Ainsi, en décrivant ta situation à ton médecin, et ton état de santé physique et/ou psychologique suite à cela, ton dossier sera consolidé par une preuve. Une autre chose à faire, tout aussi importante, c'est d'en parler à tes collègues et à ta hiérarchie. Ce que tu as fait. Mais as-tu fait la démarche d'en parler aux autres employés ? Et à tes amis ? Et à ta famille ? Et dernière chose à faire, tout aussi importante, c'est d'aller voir un avocat. Si tu te décides de porter plainte, il faut savoir qu'en droit français, la charge de la preuve incombe au salarié qui s’estime être victime de harcèlement moral. Cependant; et c'est important, cette charge est nuancée. À partir du moment où le salarié apporte des faits qui justifient d’un harcèlement moral, il incombera à l’employeur de prouver le contraire. Toutefois, je vois une difficulté. Pour un avocat, plaider un harcèlement moral qui durerait « depuis des années » alors que le salarié ne s’est jamais plaint; c'est difficile. Et comme je suppose que ton collègue est « doué », il n'y a pas d'écrits/mails, pas de preuves évidentes. Ne tente pas de le piéger, pas d'enregistrements. Il te faut des attestations de tes collègues. Celle d'un médecin. Réfléchis bien. Que veux-tu exactement ? Tu veux négocier une mutation ? Ou tu veux partir de cette entreprise ?

As tu avancé la dessus ? as tu dénoncé par écrit les paroles de ton manager et de ton rh ? et as tu contacté l'inspection du travail ? c'est important ! je me suis fait bouffer par quelqu'un il y a quelques années et comme j'étais presta je n'ai pas osé dénoncer. aujourd'hui je mesure a quel point j'ai eu tord et je sais que je ne referais plus cette erreur. courage.

Je vais essayer de répondre à tout le monde. Concernant les jours de congés : j'ai pris 3 semaine en août, et j'ai fait le sport qui me botte depuis gamine, bouffée d'oxygène. Mais ça n'a rien résolu, sans surprise. Reprendre 15 jours ne changerait rien. @MC : je ne souhaite pas donner de détails sur mon secteur d'activité, mais il est particulier. Il y a une antenne par département, et un seul poste comme le mien par département. Les secteurs géographiques (de nous et de nos clients) font que le rythme d'activité est stable dans le temps, sauf avec la situation sanitaire actuelle (je ne suis pas dans le médical). Mon département est le plus "malade", et si notre rythme normal nous positionne en 4è département de la région, là on est passé largement 1er. Le service est dimensionné pour être 4è, pas 1er. D'où la surcharge. Les autres services du département ne peuvent pas aider, car ce ne sont simplement pas les mêmes métiers. Je ne prétendrai jamais faire un travail irréprochable, on peut toujours s'améliorer, et je n'ai pas 20 ans de métier non plus. Mais je ne fais pas du mauvais boulot. Au niveau judiciaire : non. Pas envie, pas le courage, pas la force, pas envie de me griller... L'autre est un syndicaliste extrémiste, qui connait tous les règlements sur le bout des doigts, "j'ai le droit, j'ai pas le droit", et me battre contre ça ne me fait pas envie. C'est lâche, et revient à transmettre la patate chaude au suivant, mais je ne suis pas en état. Et pour "gagner" quoi ? Le côté psy : oui, il faut, et je veux aller dans cette direction. Ce genre de collègue ne change pas, c'est à moi à apprendre à les gérer. J'attends de voir ce que va donner la piste pour le nouveau poste (dans la même boite), avec à la clef un possible changement de région, pour me lancer là-dedans. @Kinvald : la famille et quelques amis sont au courant. Au taf, seule la hiérarchie l'est. Les collègues du service sont potes avec l'autre...

motardxxx : depuis la publication de la VDM, rien fait de concret, si ce n'est dans la direction du nouveau poste. Je ne pense pas que l'inspection du travail ferait grand chose, car pour faire écho à Golvan, l'Etat est l'un des pires employeurs, et le premier à ne pas respecter les règles du jeu.

Bonjour. Pour avoir rencontré aussi une perverse narcissique dans mon précédent travail, appuyée de plus par une DRH qui considérait que ses réflexions "n'étaient juste que de l'humour", je sais aussi que ce genre de situation est particulièrement difficile à vivre. Parfois même y survivre est une véritable épreuve. Dans mon cas, j'ai prévenu ma hiérarchie qui n'a rien voulu faire et m'a même demandé des preuves écrites de ce que j'avais subi en matière de harcèlement. Au final, j'ai choisi la fuite et demandé et obtenu une mutation dans un autre site. J'ai essayé de continuer d'alerter mes supérieurs en vain : la réponse que j'ai obtenu a été que maintenant que j'avais changé de site, il n'y avait plus de problème et donc qu'ils n'avaient pas envie de perdre du temps à s'occuper de quelque chose comme ça. En quelques mois, je me suis rendu compte que j'étais la troisième personne en 6 ans à passer par ce poste toxique, à subir ce genre de harcèlement de la même personne avec toujours ce laxisme de la DRH et enfin à demander ma mutation sur le site où je suis actuellement. Cool : On peut faire un club maintenant, on est assez nombreux. A croire que mon employeur attend patiemment qu'il y ai un suicide réussi pour commencer à réagir. Réussi oui : car il y a eu une tentative de suicide loupée de la part d'une des victimes de cette perverse narcissique, mais cela n'a ému personne. Le pire dans tout cela, c'est que je suis fonctionnaire et je travaille pour une administration relevant du Ministère de la Justice. Comme on dit : c'est souvent les cordonniers qui sont les plus mal chaussés. Sinon bon courage à toi. Accroche toi à la vie. Ne pas se laisser détruire est très dur. Retrouver une estime de soi, de la confiance, ou simplement un peu de joie de vivre est très dur et très long après ce genre de rencontre. La reconstruction passe par beaucoup de temps. Surtout fait toi aider par des professionnels. Bon courage à toi et bonne chance.

Bon courage, je suis une femme et j'ai ete superviseur d'une equipe masculine, je suis commerciale aussi.. Ya des hommes qui ne supportent malhereusement pas que des femmes soient leur superieurs... (2 mecs de mon equipe ont fait expres de saboter mon projet afin de prouver que je diriger mal l'equipe)... Et comme toi: le pervert narcissique est toujours super apprecie de ses collegues, proches etc... A fuire!! C'est gens la , peuvent te mettre en depression, leur but c'est de te faire craquer!

Clarisse Clara 17

j ai dit a une amie, une fois, pourquoi n essaies tu pas de postuler ailleurs, juste au cas où ? et finalement elle atrouve ailleurs mieux et mieux payée, libre a toi de voir, le harcèlement j ai connu ça toute ma vie, soit tu vas dans un très très long combat, soit tu changes de boîte... c triste mais j ai changé de boîte et je pense que ton profil est recherché... courage a toi,

J'arrive pas à vous retrouver le lien, mais j'ai écouté récemment un podcast d'Arte Radio qui parle d'une femme qui s'est fait harceler au boulot, pendant 2 ans. Ça dresse le tableau d'une société lambda avec des cadres, comment les choses empirent, comment la victime se renferme sur elle-même, et comment ses collègues et sa hiérarchie se voilent la face et préfèrent accuser le simple sexe féminin. Comme si c'était sa faute, d'être une femme. Peut-être qu'elle travaille moins que ses détracteurs, nous n'en savons rien. Mais dans ce cas le collègue, au lieu de harcèlement pourrait disons, dire les choses simplement : "je me sens débordé, je fais tout ça, et tout çi, et j'ai l'impression que tu n'en fais pas autant, ça me frustre, qu'en penses-tu?" Ou il pourrait en parler à la hiérarchie pour que ce soit discuté de manière plus formelle. Harceler, dénigrer, critiquer un collègue ne sera jamais une résolution de problème, mais bien une agression sur autrui. Et cet autrui est alors une victime qui souffre une deuxième fois, quand on suggère qu'il est coupable de ce qu'il subit. Si tu lis ça noyé parmi les autres commentaires, ne lâche rien, va taper à des portes plus hautes, et lis tous ces bons conseils partagés par les VDMiens :) Force à toi :)

Elo Di 10

tu travailles dans l'éducation nationale ?

Tout mon soutien, je passe par la même chose depuis 2 ans. Aucun soutien de la hiérarchie... on est bien seul(e) dans ces cas-là et évidemment un harceleur se victimise toujours.