Isidore le citadin
Par Sylvie20 - 18/03/2021 20:01 - Germany
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Par soso - 24/02/2013 14:59 - Espagne - Madrid
Par Jadou84 - 28/04/2013 10:29 - France - Angers
Par Beurkleparfum - 20/07/2018 11:30
Par ha laide haleine - 19/02/2023 00:20 - France
Par Anonyme - 28/09/2017 15:00
Par mayalischka - 29/11/2020 20:02
Par Pshhhit - 21/08/2015 09:04 - France - Paris
Par souchi64 - 19/07/2014 07:44 - Allemagne - Munich
Par duumquebec - 25/03/2012 19:34
Par Moustique - 07/08/2010 12:15 - France
Faut voir l'odeur des fleurs en question ou la puissance de leur senteur. Ça peut donner mal à la tête quand ça sent trop fort.
Est-ce vraiment le fait de ne pas aimer la nature qui le rend intolérant à ces odeurs naturelles ou bien leur puissance ? Et si vous l'emmeniez sous une arche de chèvrefeuille en fleurs ? Cela peut être un véritable délice sensoriel. Ou bien, en moins puissant : l'odeur de certaines écorces, le trèfle, les tournesols, l'herbe coupée plusieurs jours après (car le jour même c'est une odeur puissante), ... Est-ce qu'associer les sens le rendrait plus tolérant ? Toucher la plante et les fleurs en sentant, composer lui-même des bouquets sauvages pour se familiariser avec les odeurs et trouver le juste milieu dans sa puissance pour, progressivement, mieux supporter tout cela.
Je le comprends même si je pense que ce n’est pas dû à une haine particulière pour la nature. Certaines fleurs dont je ne connais pas le nom, m’incommodent par leur odeurs. Quand on a un odorat très développé il y a certaines odeurs que la plupart tolèrent, que l’on trouve difficiles à supporter.
En même temps il n'a pas tort ! Il y a des fleurs qui sont ultra prenantes. Si ce sont des fleurs qui ont de grands pistils (tels que les lys), essaie de les couper ça peut atténuer les odeurs.
Mais tout à fait. On a acheté des grands lys une fois, magnifiques, et dans le magasin, vu la hauteur sous plafond, ils semblaient peu sentir. Une fois à la maison, on a déchanté : l'odeur était puissante et donnait mal à la tête, même en ayant coupé les pistils. On ne les a pas gardés longtemps.
Ce n’est pas ce qu’il dit lorsqu’il fume les feuilles des plantes qu’il fait pousser au fond du jardin !
Gnagna, les fleurs ça sent bon, gnagnagna... Il a raison le gars. Rien ne vaut cette douce odeur de béton fraîchement coulé, l'odeur de nos doigts après avoir le plein, celle de l'huile de moteur usagée après une vidange... Un peu coup de disqueuse pour couper un bout de ferraille, c'est un régal.
J'aime bien le fait d'avoir cité le générique des Entrechats dans le titre de la VDM. ^^ Mais je n'ai jamais totalement compris les paroles, en passant.
C'était "Isidore le citadin dans la ville, crie Victoire. Rif-raf est le roi malin des trottoirs et des des dépotoirs. Chats de bonne manière et chats de gouttière, braves matous ou chats voyous, les entrechats sont là" je crois.
Il est au courant que c'est grâce à la nature qu'il est en vie et qu'il a du bon air dans ses poumons, l'ingrat?
Les fleurs dans la maison, ça n'a rien à voir avec la nature...
Les deux ne sont pas forcément liés... je vais prendre mon propre cas : j'aime beaucoup la nature mais j'éprouve généralement plutôt de la répulsion pour les odeurs florales :op
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Gnagna, les fleurs ça sent bon, gnagnagna... Il a raison le gars. Rien ne vaut cette douce odeur de béton fraîchement coulé, l'odeur de nos doigts après avoir le plein, celle de l'huile de moteur usagée après une vidange... Un peu coup de disqueuse pour couper un bout de ferraille, c'est un régal.
Est-ce vraiment le fait de ne pas aimer la nature qui le rend intolérant à ces odeurs naturelles ou bien leur puissance ? Et si vous l'emmeniez sous une arche de chèvrefeuille en fleurs ? Cela peut être un véritable délice sensoriel. Ou bien, en moins puissant : l'odeur de certaines écorces, le trèfle, les tournesols, l'herbe coupée plusieurs jours après (car le jour même c'est une odeur puissante), ... Est-ce qu'associer les sens le rendrait plus tolérant ? Toucher la plante et les fleurs en sentant, composer lui-même des bouquets sauvages pour se familiariser avec les odeurs et trouver le juste milieu dans sa puissance pour, progressivement, mieux supporter tout cela.