Je rejoins les commentaires d'au-dessus. Le "mal-être social" a bon dos. Même si ça peut être vrai pour certains, il faut parfois se rendre à l'évidence : la majorité des gens est composée de sombres crétins.

#68 - je suis tout à fait d'accord. Il y a aussi souvent une sacrée part de "faiblesse personnelle" à un moment donné (remplacez si besoin par le terme qui vous siéra le mieux)- sinon je pense qu'on aurait tous fini alcoolo un jour ou l'autre.

J'aime bien les "le mal-être a bon dos"... Dans l'absolu de toute façon en quoi des jeunes alcooliques de 14 ans ça vous dérange, si ce n'est pas pour le mal qu'ils s'infligent? @laurene k: Quand les jeunes allaient à l'usine à 16 ans, l'alcoolisme était bien plus répandu dans la société française il me semble, nan? Et quand mes oncles racontent leur vie après leur entrée dans l'armée à cet âge là, crois moi ils était loin d'être des anges crachant sur l'alcool. @Shyze: Faiblesse personnelle? Ce ne serait pas plutôt circonstances de la vie, manque affectif...?

Toujours aussi intéressant de voir débattre de sujet hautement philosophique dans les commentaires ...

#66 : Pas nécessairement. L'alcool peut être vu comme un tabou/interdit de part les dires des parents ("c'est pour les grands" - je ne remets pas en cause les parents, hein !), et à cet âge, un certain nombre de jeunes sont tentés de briser les interdits. Ajoutons un soupçon d'émulation ("Avoue que t'es pas cap" et autres "Je bois à la santé du capitaine ...", pseudo-jeu éduquant à l'alcoolisation de groupe) et le tour est joué : Fête = Dégueulade. Pour ma part, nombre de mes ex-camarades de classes (que je ne reverrai plus jamais, ayant le bac en poche et partant très loin) boivent régulièrement jusqu'à tout "rendre", sans qu'il y aie spécialement de mal-être dans l'air. Quand certains parlent de "faire une orgie", je ne perçois pas cela comme un appel au secours, moi. #71 : VDM est de loin plus philosophique que nombre de sites de sociologie. ^^ Après la philosophie des bars, voici la philosophie des VDMistes. ^^

#70 - j'ai bien dit de remplacer par le terme qui vous plaira =) parce qu'en effet ce n'est pas -toujours- de la faiblesse personnelle, et que je ne voulais pas généraliser à ce point selon les différents cas qu'il peut y avoir. #71 - hihih tro lol mdr ptdr quitte le favvvv troocoool hiii hii hiii fake TLBM ixedé!!!!! Voilà, c'est mieux?

@ jore, je n'entendais pas effectivement que les jeunes d'autrefois étaient tous des anges, je me suis mal exprimée je te l'accorde. Ce que je voulais mettre en lumière par le biais de cet exemple est que la jeunesse d'aujourd'hui a généralement un confort de vie bien supérieur à celui de la jeunesse d'antan. Et encore une fois je ne dis pas ici que le fait de posséder un ipod et la dernière PS rend heureux, mais globalement, la société d'aujourd'hui se regarde un peu trop le nombril, et se noie vite dans un verre d'eau...

#64 : "De plus le mal être est un peu la solution facile pour comprendre tous les maux... " - et pourtant... le premier pas vers la "guérison", c'est bien la compréhension du problème, non ? oui la première étape est simple (pas facile, juste simple), le reste l'est beaucoup moins. :) "J'imagine qu'autrefois quand on devais aller bosser à l'usine à 16 ans on ne se posait pas toutes ces questions existentielles... " - Et tu crois que dans certains pays où c'est encore le cas (pays de l'est ?), les jeunes ne boivent/se droguent pas ? Le mal-être n'a pas forcément directement un rapport avec des questions existentielles qu'on pourrait se poser, c'est quelque chose qui se subit au quotidien, et dont on est rarement pleinement conscient de la présence, ou des raisons... surtout à 15 ans. "À croire que de nos jours la cuite est un rite de passage dans le monde adulte... Triste..." - oui fort possible... la faute à qui ? "Alcool interdit aux mineurs", "quand tu seras grand tu pourras boire comme nous les adultes"... tu m'étonnes qu'ils symbolisent la prise d'alcool comme un passage à l'âge adulte, avec les exemples qu'ils ont sous les yeux qui montrent que c'est le cas... le tout amplifié par "l'excès de la jeunesse" et "l'effet de groupe"... :) Ca n'en reste pas moins triste... mais ce n'est pas en les jugeant hâtivement qu'on résoudra le problème de fond. :-p

Mal être social laissez-moi rire, les jeunes que je connais et qui se pintent régulièrement jusqu'à en être malades, cracher du sang (véridique) et coucher dans tous les coins (encore plus véridique), et qui racontent fièrement leurs frasques, sont loin d'être le rebus de la société. Au contraire, ce sont tous les fils de dentistes, avocats, etc ... qui reprendront le cabinet de papa-maman après leurs études et qui achètent des montagnes de fringues griffées chaque semaine. Maintenant, je n'ai aucun préjugé contre les gens qui ont du fric, je trouve juste ça scandaleux de mettre ça sur le dos de l'angoisse quant à l'avenir. Ces jeunes là n'ont aucune excuse. Si ils veulent se griller le cerveau, le foie, les poumons et tout le reste, tant pis pour eux. Il y en a qui boivent pour oublier des problèmes graves, mais ils sont loin d'être majoritaires. #73 : wa cmt ktu l'as tro KC ! mwa jdis tro lol, ptdr, mdr, kikoooo, laaaachéééé vos coooomms !(ça va ça ? ^^)

#76 - être fils de dentiste ou d'avocat ne met pas à l'abri d'un mal être x ou y hein. ^^