Le gros lourdeau.

Elle n'a jamais dit qu'elle était végétalienne. D'ailleurs si elle l'était sa mère lui aurait probablement donné le livre.

Tu ne dois pas être plus ouvert à la pluralité des régimes alimentaires, à en juger par les propos dédaigneux que tu tiens envers l'alimentation végétale et ceux qui l'ont choisie. C'est pourtant loin d'être une idiotie dans la mesure où ça permettrait, par exemple, de réduire la part d'aliments issus de l'élevage qui ont des impacts non négligeables sur l'environnement.

En lisant la vdm, je le savais qu'en venant dans les commentaires j'allais en lire un d'un cornichon mariole à l'esprit étroit. C'est harassant.

C'est clair qu'avec le "steak végétal" ultra transformé on s'éloigne grandement du concept de base. Je ne comprends pas la philosophie de vouloir faire un produit végétal ressemblant à de la viande.

Attention aux généralités, de tous les côtés du débat... On ne peut pas dire que les vegans sont prosélytes ou trop insistants souvent/presque tout le temps; pas plus que les omnivores ou n'importe quelle étiquette en fait. Il y a des gens qui sont prosélytes et ce quels que soient leurs choix de vie, le sujet abordé. Il y a des gens qui aiment quand la discussion s'échauffe un peu mais sans être plus particulièrement voués à convaincre qui que ce soit. Il y a des gens qui veulent bien en parler sans pousser qui que ce soit à en faire autant. Il y a des gens qui ne souhaitent pas en parler. Il y a des gens qui tolèrent la différence, d'autres pas. Il y a des gens qui arrivent à communiquer même avec des avis divergents. Il y a des gens qui font les mêmes choix mais pas pour les mêmes raisons... Est-ce qu'on pourrait essayer de voir parfois ce qui nous lie (par exemple ici: ben la bouffe c'est quand même un sacré plaisir!!) plutôt que ce qui nous sépare? Ce serait cool quand même...