Par pluchepluche - 20/04/2012 11:18 - Belgique - Enghien
pluchepluche nous en dit plus
Bonjour, celles (et ceux) qui ne sont pas passé(e)s par là ne peuvent pas comprendre. J'ai souhaité allaiter mon BB même si mon entourage était contre (c'est contraignant.....). Mon mari a respecté mon choix et m'a encouragé dans les moments difficiles. Suite à un problème de tétons, je n'ai pas pu allaiter mon BB directement au sein. La puericultrice de l'hôpital a proposé d'utiliser sur le sein une tétine de biberon et d'allaiter ainsi mon fils. Ca a super bien marché. J'ai tiré mon lait quand j'étais fatiguée et mon mari a pris le relais très vite la nuit. Je n'ai pas pu allaiter aussi longtemps que j'aurai aimé. C'est un sentiment certes contradictoire de se plaindre d'être fatiguées, mais quand on allaite son BB (même avec ma méthode) reste des moments merveilleux. Mon fils a gardé longtemps le souvenir de ces moments partagés à 3 !
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Commentaires
Bonjour, je suis l'auteur de cette VDM... En fait, au risque de décevoir certaines personnes, je suis l'auteurE de cette VDM. Je trouvais plus drôle de me mettre dans la peau de mon mari pour qui, je l'avoue, ça ne doit pas toujours être simple de me comprendre. Alors, dans le désordre et selon les commentaires dont je me souviens : - je n'ai pas la réputation d'être une chieuse, bien au contraire. Mais comme certaines personnes l'ont bien expliqué, les premiers mois d'un bébé sont, pour la maman, des mois avec des sentiments très contradictoires : fatiguée par l'allaitement mais pas envie d'arrêter ; ras le bol de passer ces journées avec le bébé mais malade à l'idée de le "laisser" ; heureuse et déprimée à la fois ; etc. - Je ne fais pas de dépression, je suis seulement épuisée et je pleure très facilement lorsque je suis fatiguée. Et puis, la VDM a été un peu exagéré : j'avais plutôt les larmes aux yeux tous les soirs, pleurant un bon coup lorsque je n'en pouvais vraiment plus. - Je n'ai pas totalement arrêté l'allaitement. Je l'ai allaité à 100% jusqu'à maintenant et j'ai introduit le biberon depuis peu. Je n'ai pas pleuré à l'idée de ne plus allaiter : j'ai senti une joie et un soulagement lorsqu'il a enfin accepté le biberon, suivi immédiatement d'un gros coup de cafard en réalisant qu'il était en train de se nourrir pour la première fois de quelque chose qui ne venait pas de moi. C'est difficile à expliquer mais j'ai moi-même dû rire de mon esprit contradictoire. J'adore cette fusion dont tout le monde parle mais il boit VRAIMENT beaucoup, jour et nuit, et je sens que je ne tiens plus le coup physiquement. Mais bon, on change les habitudes à notre rythme. Pour le moment, il a maximum un biberon par jour. - Le tire-lait, comme beaucoup l'ont dit, ne change rien à la fatigue. Mon bébé est né un peu trop tôt et n'avait pas la force de téter au début. J'ai donc passé un mois et demi à tirer mon lait non stop pour le nourrir en suite au biberon (oui, oui, le papa a donné des biberons). Et j'étais encore plus crevé que maintenant ! Dès qu'il a accepté le sein, je n'ai plus su voir un tire-lait tellement j'en avais marre ! L'allaitement exclusif n'empêche pas le papa de profiter : il se lève et le met dans mon lit, s'amuse souvent à lui caresser les cheveux pendant que notre fils est au sein,... Merci d'avoir publié ma VDM. Merci aussi à touts ceux et celles qui ont compris la situation. J'ai lu ma VDM à mon mari et nous avons lu les commentaires ensemble. Les commentaires remplis de critiques (dans lesquels on me traite de chieuse et on conseille à mon mari de me quitter, etc) nous ont bien fait rire. Ceux remplis de compassion et surtout de compréhension nous on fait du bien à tous les deux. Ca nous a fait du bien à tous les deux de lire que cette phase est classique... même si on le savait déjà. Ah oui, dernier petit détail, je ne vais pas du tout dans le sens du pro allaitement. Je n'ai pas allaité ma fille et j'allaite aujourd'hui mon fils. La situation est différente. J'adore ces instants magiques et pourtant je ne regrette pas de ne pas l'avoir fait pour ma fille. Je sais qu'à cette époque là, je ne l'aurais pas bien vécu. Je ne pense pas offrir + ou mieux à mon fils qu'à ma fille et j'ai un lien tout aussi fort avec elle. Je ne crois qu'en une seule chose : la maman et le papa doivent se sentir bien avec les décisions prises. Allaitement/biberon ; laisser pleurer ou pas ; tétine ou pas de tétine ; ... Chaque enfant est différent, chaque situation est différente, il faut être à l'écoute de soi, du papa et du bébé et la décision sera la bonne :-)
Rahh les hormones du femme enceinte ! C'est vrai qu'elles sont chiantes mais elles portant notre p'ti bout pendant 9 mois. Elles peuvent pas être parfaites
baby blues baby !cool,ça pourrait faire un titre de blues .
Vraiment conne, non ? x) Parcequ'il n'y a pas d'autres mots, là...
Bonjour, celles (et ceux) qui ne sont pas passé(e)s par là ne peuvent pas comprendre. J'ai souhaité allaiter mon BB même si mon entourage était contre (c'est contraignant.....). Mon mari a respecté mon choix et m'a encouragé dans les moments difficiles. Suite à un problème de tétons, je n'ai pas pu allaiter mon BB directement au sein. La puericultrice de l'hôpital a proposé d'utiliser sur le sein une tétine de biberon et d'allaiter ainsi mon fils. Ca a super bien marché. J'ai tiré mon lait quand j'étais fatiguée et mon mari a pris le relais très vite la nuit. Je n'ai pas pu allaiter aussi longtemps que j'aurai aimé. C'est un sentiment certes contradictoire de se plaindre d'être fatiguées, mais quand on allaite son BB (même avec ma méthode) reste des moments merveilleux. Mon fils a gardé longtemps le souvenir de ces moments partagés à 3 !
Grosse chieuse la daronne !!!!!!!
tiens je me reconnais dans cette vdm ^^ les bébés gloutons ça épuise. biberon ou allaitement le principal c'est que tout le monde y trouve son compte.
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ça c'est un cas de baby blues...
Je suis une femme et je suis quand même d'accord pour dire que les femmes sont souvent jamais contentes, moi y compris. Mais je peux aussi en balancer une bonne louche sur les hommes si tu veux, toujours à se plaindre que leurs femmes sont mécontentes sans chercher à savoir pourquoi par exemple x)