"typiquement féminin", "jamais de conflits impliquant les hommes". Ainsi que nous le démontre le film Mon beau-père et moi, qui doit probablement mettre en scène Roberta de Niro et Georgette Stiller ?

#118 : bon, je rectifie : presque jamais. Ca existe aussi chez les hommes, mais c'est plus rare. Il n'y a qu'à voir, par exemple, dans le monde du travail, dans les professions où il y a une majorité de femmes, ce que ça peut donner. (après je ne dis pas que dans les milieux essentiellement masculins tout est beau et rose, mais je pense que c'est quand même bien différent. Je dis ceci en fonction de mon expérience et de celle d'autres personnes)

Deux questions me turlupinent : Qu'est-ce qu'on en a à faire que ce soit typiquement féminin ? Pourquoi est-ce qu'il y a toujours une saleté de troll pour faire des comparaisons hommes/femmes ? (Dans ma tête, ces deux questions sont posées autrement, avec des termes légèrement différents, mais ce ne serait plus en accord avec la charte de VDM) A propos de cette charte "l'incitation au sexisme" pourrait y être ajouté comme illicite, parce que " A croire que seules les femmes ont du temps à perdre avec des choses aussi futiles. " c'est très limite.

M'enfin voyons, c'est bien connu, les filles se détestent copieusement entre elles et on pleiiiin de temps à perdre à se chamailler pour des broutilles alors que les hommes vivent dans une harmonie totale entre eux... C'est pour ça qu'on a un beau-père qui avait présenté sa carabine à son genre dans une VDM précédente, par exemple. Arrêtez les généralisations à deux balles, il y a des filles qui vont se crêper le chignon tout le temps, des mecs qui vont livrer des batailles intestines, des belles-mères charmantes, des gendres détestables et des beaux-parents chiants ! Il y a de tout et c'est très bien comme ça.

Les expériences menées par des experts du comportement démontrent que les femmes sont effectivement plus dans une logique de compétition entre elles que les hommes et que les chamailleries en sont l'expression (dénigrer l'adversaire). Ces spécialistes imputent cette différence comportementale à la sexualité la plus instinctive et primaire. J'explique : Un homme peut coucher (et donc se reproduire) avec de nombreuses femmes les unes après les autres et avoir rapidement (tout est relatif) plein d'enfants, dont certains seront "mieux" que d'autres ; c'est l'évolution par la quantité. Les femmes, elles, ne tombent enceinte qu'une fois après l'autre (je veux dire par là que, même en couchant avec 20 hommes dans la même journée, elles ne vont pas avoir 20 enfants) et elles doivent donc s'efforcer de se distinguer de leurs semblables pour être choisi par le bon mâle qui leur assurera du premier coup un enfant "mieux" ; c'est l'évolution par la qualité. C'est pour ça que les femmes ont plus tendance à se crêper le chignon et à commérer. D'ailleurs, on parle de com(mère), mais on coo(père)

Ah, ces scientifiques... ça donne pas envie de dire oui à la vie un paragraphe pareil. En gros, l'homme couche avec un maximum de femmes (oui parce que l'homme est un Casanova) et, oh miracle, un tas de bambins (oui parce que l'homme n'utilise pas de capotes), bon il y aura des moches (oui parce que l'homme n'est pas sélectif, il couche avec tout le monde, même les moches) mais ceux-là, il aura qu'à dire que c'est pas les siens. Mais les femmes elles savent qu'elles sont pas les seules, va falloir se fighter ! Du coup elles doivent mettre le paquet sur tout ce qui peut les mettre en valeur (maquillage, bronzage aux UV, botox, faux seins...) et repérer LE mââle qui leur fera un beau bébé tout mignon, en éliminant au passage toute concurrente à coup d'arrachage de cheveux et de rumeurs malsaines. On est d'accord, c'est "la sexualité la plus instinctive et primaire", (ça me ferait presque penser que les séries TV américaines se sont intéressées à ces études), alors si les scientifiques pouvait étudier un genre de sexualité plus subtile et mature, histoire qu'on ne perde pas espoir en l'humanité . Et commère est en effet formé du mot "mère" parce qu'à l'origine cela désignait la marraine/seconde "mère", donc rien de péjoratif; et c'était bien essayé, mais coopérer n'a aucun rapport avec le mot "père" puisqu'il vient du latin cum-avec et operari-opérer.