Ca dépend de quelles maisons tu parles, mais franchement, ça reste globalement faux... Connaître quelqu'un dans une maison peut t'aider à atteindre le haut de la PAL plus vite, mais ne te fera pas accepter pour autant ! Les éditeurs prennent des risques financiers et de réputation en éditant un livre, s'ils se trompent, ça sent mauvais.

Faux, on peut être publié sans être pistonné. Le meilleurs moyen de percer c'est de participer à des concours et on finira par te remarquer. Il y a aussi les revues littéraires et bien sûr le web, tu crées un blog et tu vois si ce que tu écris plaît. Les éditeurs sont en quête de talents.

Comme je le dis plus haut, les maisons d'édition apportent beaucoup chose que ne fait pas l'auto-édition. De plus, de mon point de vue, l'auto-édition ne doit pas être vue comme une porte de sortie : "Je suis édite nulle part, alors je m'auto-édite, na !" Souvent, que ce soit dans le démarchage ou dans le texte, il y a un problème qu'il faut cerner avant de partir vers l'auto-édition comme ça (ça ne fait que nuire à l'image de cette voie d'édition et aux bons livres auto-édités).

AUCUNE "grande maison d'édition" ne demande d'apport personnel. Toute maison qui fait cela fait, de façon plus ou moins déguisée, de la publication à compte d'auteur. Les maisons d'édition classiques publient à compte d'éditeur, et assument le risque financier lié à la publication. Et l'auteur passe un contrat avec elles - sur la diffusion, a publicité, etc. S'auto-éditer peut être un choix. En tant que lectrice, j'ai tendance à me diriger plutôt vers un éditeur: - Parce que l'éditeur a une ligne éditoriale qui m'intéresse - Parce que l'éditeur m'offre une "garantie", toute relative soit-elle, de qualité: à lui au moins, le livre a plu, et s'il a fait son travail, il y a eu une phase de travail éditorial sur l'ouvrage. - Parce que c'est plus facile à trouver (en librairie, sur commande..) En auto-édition, on est aussi en auto-promotion, auto-diffusion, etc.

tu devrais peut être en prendre un toi...