Bien lire les contrats avant de les signer. Et si rien de très cher n'a été volé, en fonction de son assurance, mieux vaut ne rien demander. Bien se renseigner au sujet des franchises. Se faire prendre en photo avec tous les bijoux de valeur, surtout si on n'a pas de facture (cadeau, héritage...). Essayer de faire gonfler au maximum la note des choses dégradées ou volées. Ajouter dans la liste des choses volées les choses éventuellement perdues avant...

Plus qu'à appeler Courbet !

Les assurances, c’est de l’argent investi à fond perdu. Et pour tous les petits soucis, il vaut souvent mieux s’en passer. Par contre, le jour ou tu as un vrai gros problème, tu es bien content d’être assuré !

Des gens victimes de catastrophes naturelles (dans le sud de la France je pense) ont mis plus de dix ans à être indemnisés, malgré des contrats en béton. Résultat : une seconde catastrophe naturelle qui arrive, et la première n'a même pas encore été indemnisée. Après ça, désolé, mais ton témoignage ne me choque pas, même si j'approuve la conclusion.

Ca c'est parce que ca s'est pas passé durant une éclipse un jeudi après-midi, par une fanfare d'éléphants.

N’hésite pas aller voir des assos de consommateurs comme la CLCV, ils m’ont bien aidé avec l’assurance quand m maison a brûlé

Tout dépend des assurances. Mon fils avait assuré sa voiture auprès d’A…Z, alors qu’elle venait d’être remise à neuf il n’a réussi à récupérer que la moitié de ce qu’elle lui avait coûté (par ex. l’« expert » a compté 50% de vétusté sur des pneus qui n’avaient même pas 1 000 km). Heureusement que le véhicule était déjà ancien, il n’en a été « que » pour moins de 1 000 € de sa poche. À l’inverse, j’ai eu un grave incendie suite à un feu de cheminée (et une malfaçon d’origine). Je suis certain que A…Z aurait invoqué le non-ramonage pour ne m’indemniser que de clopinettes (cheminée de 13 m de conduit – grande maison du XIXe –, personne ne voulait s’en occuper !). Eh bien, la M…F (en 5 lettres) m’a spontanément indemnisé bien au-dessus au-dessus de ce que j’étais prêt à accepter. Et ça n’a pris que quelques mois.

It is known.