Casse-toi alors !
Par Anonyme - 12/11/2021 06:30 - France - Sevran
Par Anonyme - 12/11/2021 06:30 - France - Sevran
Par Lesline - 26/08/2018 21:00
Par essivercé - 03/05/2019 23:00
Par Anonyme - 04/06/2012 10:11 - France
Par Anonyme - 13/01/2021 14:01 - France - Bouaye
Par Melissa - 14/01/2022 18:01
Par Kiki - 20/01/2010 13:21
Par Voca Loow - 27/03/2018 11:30 - France - Rabastens
Par doubleface - 27/05/2014 19:18 - France - Saint-denis
Par mochemaissympa - 24/01/2018 18:00
Par Anonyme - 02/12/2021 09:30
c est l avantage avec monsieur patate c est que tu peux changer les parties du visages comme tu le désire.
En fait, à ses yeux, ben t'es pas belle mais peut être as tu simplement du charme. Après si ça peut te rassurer, la perfection n'existe pas.
Ca me fait penser au sketch de Jerôme Commandeur "Les moches" : " une fille un soir au cours d’un dîner. Alors que je venais de lui demander comment elle m’avait trouvé physiquement, elle m’a répondu, mot pour mot : « Ah non, mais toi, ne t’inquiète pas, trait pour trait, rien ne jure ! »
Pas d'harmonie pas d'arme au nique ?
Ça, blague ou pas, c'est une rupture direct pour ma part. C'est quoi ce genre de commentaire de me*de.
Remets lui les idées en place en lui demandant du temps pour réfléchir à la relation. C'est incroyablement blessant
ma foi.... y a d. autres messieurs, hein
"Hum... C'est marrant, toi, t'avais l'air à peu près intelligent. Jusqu'à ce que tu te mettes à parler." "Ça va pas le faire. Plus tu parles, plus tu t'enlaidis." "Et toi, c'est pour quand la fin des travaux ? Ton visage est un vrai chantier." "T'as pas eu trop mal le jour où tes parents ont éteint l'incendie de ton berceau à coups de pelles ?"
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c est l avantage avec monsieur patate c est que tu peux changer les parties du visages comme tu le désire.
Ca me fait penser au sketch de Jerôme Commandeur "Les moches" : " une fille un soir au cours d’un dîner. Alors que je venais de lui demander comment elle m’avait trouvé physiquement, elle m’a répondu, mot pour mot : « Ah non, mais toi, ne t’inquiète pas, trait pour trait, rien ne jure ! »