Trop forte sa réponse xD Ceci si elle a ses règles toutes les deux semaines il y a de quoi se poser des questions ^^

#127 : Et pendant l'accouchement, ça se passe comment ? :p *commence à courir*

#127 Ok vous souffrez mais excuse moi s'en prendre plein la g***** ça ne sera JAMAIS agréable donc... Tu parles pour rien :)

#121: Oh que oui, les collèges/lycées qui n'entretiennent pas suffisamment le coin des lavabos, où tu ne trouves pas de savon... C'est très moyen, d'avoir à enfoncer à un endroit du corps aussi fragile le doigt d'une main qui a touché, par exemple, la barre du métro, les poignées de portes... Les applicateurs ne sont pas forcément une solution, déjà c'est plus cher, et on touche toujours plus ou moins l'entrée. En plus s'il est mal mis, obligation de le replacer avec le doigt.

@Escargote, attention aux demandes en mariage, des fois, y en a qui acceptent! (voir dernière VDM de ce matin :p) @Klatschmohn: MDR j'imagine trop la copine faire du rafting avec son paquet d'absorbant sous les fesses! @MademoizelleX: houlala, toutes les heures? Je compatis. Vive la ménopause alors? ^_^

(doublon)

Perso, quand j'en étais au début de mes règles (vers mes 13 ans), ce n'étais pas tant la douleur ni l'abondance de mes règles qui me posaient problème, mais le fait que ma tention chutait. La première fois, lorsque j'en ai parlé à ma prof de sport, un mot du gynécologue et de ma mère à l'appui, elle s'était fichue de moi et m'avait forcée à aller courir, comme les autres. Ce qui devait arriver arriva, je me suis évanouie en plein cours... Ma petite expérience me pousse donc à dire que les tampons et les anti-douleurs sont loin de contituer une solution valable dans tous les cas (perso, j'étais interdite d'anti-douleurs car ils accentuaient mes chutes de tention. Quant aux tampons, les premiers mois, c'était assez délicat d'en mettre) Par contre, dans le cas de la VDM, je suis assez d'accord avec le prof. D'abord parce que ce n'est pas le vagin qui se vide, mais l'utérus. Et ensuite parce qu'apparemment, la fille a l'air de faire le coup au prof plus souvent que ce qu'elle n'a réellement ses règles. Donc, VDM validée pour ma part.

Eh Bah !!!! Sinon, règles douloureuses ou pas, avoir un peu trop souvent ses règles (genre plus de 13 fois par an), c'est franchement du mito. Donc VDM pour le prof d'avoir une élève aussi peu sportive et VDM qu'elle lui réponde d'une façon aussi crade. Sinon, pour info, peut être qu'on a pas très envie d'aller à la piscine quand on a ses règles, mais pour avoir fait de nombreuses années de natation, 1/ j'avais pas trop le choix 2/ je sais pas si c'est pour tout le monde pareil, mais dans l'eau, ça me bloque "l'écoulement". Donc je sens plus rien et c vraiment pas douloureux.

Je trouve ça abominable que vous jugiez de la douleur des autres. Aucun humain n'est fait pareil et pour cause, moi-même je ne peux pas aller à la piscine parce que les tampons ne restent pas en place. Je ne peux pas non plus aller à mes cours d'équitation et d'aikido parce que même 4 dolipranes d'1g dans la journée ne font pas passer les crampes! J'emmerde tous ceux qui jugent que les filles inaptes au sport à ces périodes sont trop flemmardes! Vous n'êtes pas dans leur corps pour juger et pour avoir été à cette place trop longtemps au collège, je vous trouve minables!

#138: non avoir ses règles souvent ne tient pas nécessairement du mito. Dois-je rappeler que le nombre de jour minimal entre les cycles est de 21 ? Sur un an, on arrive à 16/17 fois une période de règle. Et ça encore, c'est en imaginant que le cycle est régulier. Plein de facteurs peuvent jouer en l'occurence, et personne n'est semblable physiologiquement. Après, tout a déjà été dit et redit ^^'. Certaines souffrent, d'autres non. Aller en cours donc en EPS? C'est plus facile d'avoir mal sur une chaise que lorsque l'on court (et en ce qui me concerne, bouger pour moins souffrir ça n'a jamais marché sur moi =/). Et oui, se déplacer pour aller en cours c'est souffrir, mais, il est plus difficile de louper une journée de cours, que de se permettre de zapper 2 heures de sport. Les médocs, bah oui, tous ne marchent pas, et les médecins sont parfois impuissants. Pour la petite anecdote, une fille que je connais les a eu pendant le bac, elle était au bord de l'évanouissement durant toutes les épreuves. Elle y est allée oui, parce que c'était le bac. Rien qu'à la voir durant cette période fait mal au coeur. Lui infliger le cours d'EPS parce qu'elle a pu se bouger pour ses épreuves, ça tient un peu de la stupidité. Pi bon, comme il l'a été remarqué, l'EPS hein... On aime, on aime pas, on y va même si on est nul ou pas, ça regarde la personne concernée. Si le sport est bon pour la santé, ce qu'on fout durant les années collège/lycée, ce n'est pas vraiment des activités sportives passionnantes. J'ai toujours adoré courir, jour au volley, aller à la piscine. Mais alors durant ma scolarité, quelle horreur >