#49 : +1 Ca nous ramène à une question : qu'en est-il de l'amitié homme-femme? Des deux côtés bien entendu... Peut-il y avoir entre deux personnes de sexe opposé une réelle amitié sans une once de désir, caché ou non? Que risque-t-on en tentant une aventure? Faut-il être surhumain pour se dire mutuellement : "bon, ca ne fonctionne pas comme ça, ALORS restons amis" Tiens, ça m'amènerait presque à penser que si ce n'est pas de l'hypocrisie de la part de ces demoiselles, cela pourrait être une forme de lâcheté. Ne pas prendre le risque que ça ne fonctionne pas. Ne pas perdre de temps. C'est vrai, la vie est si courte!!! #43 : Les histoires qui se terminent ne sont pas systématiquement une catastrophe. Je m'entend très bien avec toutes mes ex, je les adore. On est pas forcé de haïr la personne que l'on quitte, ni ses amis. #35 : pour le réseau social, j'ai le travail, la famille, les amis divers et variés. Une compagne pour ce que ne donnent pas les collègues de travail (I.E. tendresse, câlins, soirées au coin du feu...) serait la bienvenue.

#51 bien sûr que non, j'ai aussi des ex avec qui je suis restée amie. En fait, perso j'utilise cette phrase quand je la pense sincerement et avec de très bons amis ! ce n'est pas de la lacheté si l'amitié que j'ai avec quelqu'un compte plus pour moi qu'une aventure qui ne durera sûrement pas et qui a des risques de mal se terminer ! Après je suis d'accord avec le fait qu'il faut être sincère et ne pas utiliser cette phrase comme un cliché pour se débarrasser d'un mec, tout comme le "c'est pas toi c'est moi".

#50 ?

VDM.. je te comprends...

#53 je voulais dire que je n'ai pas compri ce que tu as voulu dire

deux lectures : http://www.frenchtouchseduction.com/bob-afc.html http://www.frenchtouchseduction.com/je-prefere-quon-reste-amis.html pour ne plus jamais avoir ce problème.....

Alala, généralité quand tu nous tiens ! Je pense qu'il faut avoir eu au moins une vraie amie du sexe féminin, pour réellement savoir avec qui l'on peut devenir ami, et avec qui c'est foutu d'avance. En gros, je dois avoir une vraie amie, avec qui il ne s'est jamais rien passé et avec qui il ne se passera jamais rien, tout simplement parce que le désir est absent de la relation... Mais à partir du moment où le désir intervient dans une relation, c'est FINI, si elle réclame votre amitié, passez votre chemin en lui expliquant clairement pourquoi (si elle est honnête et tient réellement à vous, sinon passez simplement votre chemin) : "Je ne peux pas, je suis attiré par toi blablabla ça n'est pas contre toi", bref, jouez cartes sur table. Ca a l'inconvénient de laisser la balle dans son camp, mais votre élan de franchise, et surtout l'idée qu'elle puisse vous perdre la fera réfléchir. Si elle ne revient pas sur sa décision, vous vous serez au moins épargné des mois de souffrance inutile. Après, reste à savoir qui est sincère et qui ne l'est pas. Et pour ça, il faut à un moment ou à un autre en prendre plein les dents :)

Cherche pas, t'es moche =)

J'ai beaucoup beaucoup de potesses aussi :'(

#57 Analyse intéressante ! Le désir, effectivement, c'est un des deux éléments clefs de l'histoire. Et les conseils que tu donnes en cas de friendzonisation m'apparaissent comme pertinents. Ce que j'ajouterai néanmoins, c'est un second élément lié me, semble t'il, à la différence qui existe entre homme et femme dans la perception de l'autre sexe. La théorie de l'échelle est certes parfois excessive (en plus d'être remplie d'acrimonie) mais fondamentalement, elle correspond à ce que j'ai pu percevoir au cour des mes propres expériences. Ainsi, il me semble que cette fameuse "friend zone" soit une habitude majoritairement féminine. Personnellement, je ne divise pas les femmes en "celles avec qui je couche" et "celles avec qui je suis ami" mais "celles envers qui j'ai du désir" et "celles envers qui je n'ai pas de désir". La notion d'amitié n'a là dedans pour moi aucune importance et je n'ai jamais hésité à coucher avec une femme avec qui le lien socio-affectif était fort. Et après un rapport sexouale, curieusement, la personne avec qui j'avais partagé le jeu de l'alcôve et du lézard ne m'apparaissait nullement comme étant désormais indigne de mon respect et de mon amitié !!! Et c'est un sentiment que j'ai trouvé partagé par la plupart des hommes que j'ai fréquenté. Par conséquent, je pose la problématique suivante en généralisant un tantinet : 1°) Est-ce que les hommes serait en définitives bien des porcs, comme l'affirme certaines de nos chères consœurs ? Comprendre par là qu'ils auraient une méta-sexualité impliquant qu'ils coucheraient avec n'importe qui, ou n'importe quoi, sans se soucier de rien ?! 2°) Est-ce que les femmes ne seraient pas plutôt de sales hypocrites qui ont exactement les mêmes appé**** que les hommes, comprendre par là qu'elles seraient des truies, mais qui n'ont pas le courage et/ou l'honnêteté d'avouer franchement leur absence de désir au pauvre blaireau qui tente en vain de les mettre dans son lit ? 2 bis°) Est-ce que les femmes ne seraient pas plus roublardes que les hommes en essayant de ménager la chèvre et le choux afin de garder un objet utilitaire sous la main ? Objets utilitaires masculins de tous les pays, unissez vous et rejoignez le C.H.I.B.R.E.S :-D