une équipe de basket c est plus facile à composer !

ou alors qu'elles n'en veulent pas du tout. ou qu'elles en font trop jeune, trop vieille, trop rapprochés les uns les autres ou trop éloignés,... Dès que ça sort un peu de la norme ça ne plaît pas.

Pour plusieurs raisons : - certains pensent à la surpopulation - d'autres savent que dans une famille nombreuse la mère ne peut pas s'occuper de tout le monde alors c'est les aînés qui s'y collent (alors que ce n'est pas le rôle d'un enfant) - certains pensent que c'est pour les allocs (ce qui est plus que fréquent en France il faut bien l'avouer) Je suis desolee mais pleins de gens sont choqués que je ne veuille pas d'enfant alors j'estime avoir le droit d'être choqué quand une femme en a 5

Je parle en connaissance de cause pas parce que quelqu'un me l'a dit mais parce que je le vois et je suis au courant de tout l'argent qui part par les fenêtres pour des gens qui n'ont jamais travaillé de leur vie ! Pardon mais j'ai dautres objectif dans la vie que de me reproduire et rester devant la télé personnellement Et pour le commentaire juste en dessous du mien, heureusement que certains parents arrivent bien a gerer et tu as eu de la chance, mais j'ai quand même pas mal d'amis issus de famille nombreuse qui n'ont pas eu une aussi bonne expérience :/

j'ai conscience de ma chance! je suis encore très proches d'eux malgré mes 26 ans. Je pense qu'être de bons parents ne dépend pas du nombre d'enfant. On peux en avoir qu'un mais ne pas savoir gérer et une grande famille heureuse.

Je pense sincèrement qu'il faut que t'arrêtes de chercher un double sens ou une quelconque psychologie dans mes phrases, jessaye de m'exprimer clairement et c'est mon expérience et mon ressenti, t'as le droit de pas être daccord mais il me semble que certains s'accordent avec moi étant donné que je ne suis pas enterrée

Allons, jeunes amis, ne vous énervez pas, vous savez, dans ce genre de débat, rien ne sert de chercher à savoir qui a raison et qui a tort, car ce serait le meilleur moyen d'arriver à des discussions stériles et de plus en plus agressives. Le fait de vouloir ou de ne pas vouloir d'enfants est avant tout un choix personnel qui mérite de ne pas être jugé. Chacun a ses raisons, et qu'elles nous paraissent bonnes ou mauvaises, elles restent des raisons et on ne peut en vouloir à personne de suivre ses propres convictions, même lorsqu'elles sont contraires aux nôtres, dans la limite de ce qui est éthique. Sinon, pour exprimer mon avis, je dirai que ce qui me répugne, ce sont les gens qui font des enfants pour les allocations. Quant au nombre de ces gens là, personne ne peut se vanter de le connaître. Le fait que certains en voient beaucoup dans leur entourage ne permet pas de les quantifier de manière objective. Sachez que qui que vous soyez, votre entourage n'est pas représentatif de tout un pays.

merci Niark88, moi je suis d'accord avec toi, même si ça ne plait pas de penser de cette manière

Je ne sais pas ce que veut dire "troll" mais je t'aime bien, pro-verbial.

Merci pour cette précision !

Effectivement j'habite dans une région ou "faire des gosses pour les allocs" c'est presque une religion j'avoue, ça doit pas m'aider a voir les choses du bon côté, mais je pense pas que ça soit le seul coin de la France ou ca se passe comme ça malheureusement ..

J'ai généralisé et c'est pas bien, je le sais, mais faut aussi arrêter de vivre dans le monde des bisounours, les gens qui profitent de leurs enfants ça existe aussi et c'est dramatique Et je ne suis pas un troll, c'est toi qui part au quart de tour parce que ce que je dis te dérange, mais tout n'est pas tout beau tout rose dans la vie tu sais

Perso ce que je trouve dérangeant, c'est que tu explique que tu te permet de faire une remarque sur les femmes qui ont 5 enfants parceque tu en subit alors que tu n'en veut pas. Tu te met au même niveau, si tu soufre des remarques désobligeantes des gens que ça ne concerne pas, pourquoi tu fais pareil? Les gens qui font de l'élevage pour toucher les allocs c'est chose courante, c'est pas des rumeurs, des amis de mes parents ont arrêté de bosser à leur premier enfant: chomage+allocs mieux rémunéré que boulot. Après, y'a aussi la catégorie classe moyenne qui a entre 2 et 4enfants, qui payent les impôts plein tarifs, dont les enfants ne peuvent pas toucher les bourses, les allocs tombent très peu, et pourtant c'est du h24 au boulot. Je fais partie de cette catégorie 3 enfants avec les études à payer sans aide. L'écran plat pour remplacer notre cathodique des années 2000, la nouvelle voiture, les consoles, c'est loin d'être au programme et je vois des familles sans emploi s'offrir ce genre de confort. C'est pas le nombre d'enfant qui fait d'une famille un "parasite" de la société, c'est ce que font les parents de l'argent perçu.

Une personne a demandé pourquoi ça choquait que quelqu'un ai 5 enfants et je lui ai répondu c'est tout mais j'avais mis aucun commentaire avant ca ^^

Alors être mère de famille nombreuse se réduit aux seuls objectifs de reproduction et de regarder la télé? Et l'éducation de la population de demain, la vie de famille ne sont pas des objectifs louables? Est-ce mieux de vivre pour travailler, et essayer de se construire une identité dans cette société carriériste et sur consommatrice? J'ai malheureusement l'impression qu'être mère aujourd'hui est considéré comme une tare pour la société. Réfléchissez au réel but de votre vie, à qui vous êtes vraiment, pour vous même et pour qui. Une femme peut être accomplie, du moment qu'elle choisit sa manière de vivre. Respectons les choix de vie des autres, et abstenons nous de les juger. Nous sommes pas dans leur tête.

Simplement faut comprendre que c'est dur pour ceux qui triment que leur impôts partent pour offrir le confort (que ces mêmes personnes ne peuvent souvent pas s'offrir!) à des gens qui ne cherchent même pas d'emploi. Si profiter du travail des autres est admis et jugé honnête, autant que tout le monde pose sa démission et ponde des gosses. C'est pas comme ça que la France va sortir la tête de l'eau.

Zafiliade, je comprends tout à fait le sentiment d'injustice qu'est le tien. Les responsables de cette injustice sont sans doute les personnes qui répartissent les richesses du pays, peut-être pas suffisamment judicieusement. Pour autant, je ne pense pas qu'il faille mettre toutes les mamans de familles nombreuses dans le même sac. Certaines sont réellement en difficulté et ont besoin de ces aides pour subvenir aux besoins de leur famille. Malheureusement, dans un pays à 70 millions d'habitants, on ne peut pas octroyer des aides aux unes et aux autres au cas par cas. Et rassure toi, que ce soit par amour pour les enfants ou pour les aides, élever une famille nombreuse reste une tâche difficile et fatigante (il n'y a ni horaires car c'est du 24h/24 et 7j/7, ni congés, ni RTT et cela demande autant de résistance physique que psychologique et nerveuse). Donc, je veux bien que l'on parle d'injustice, mais pas de "confort".

@Zafiliade Alors les gens doivent choisir leur manière de vivre en pensant aux sous des autres? Certains doivent s'empêcher d'avoir plusieurs enfants pour ne pas passer pour des profiteurs aux yeux de la société, et donc selon le regard des gens? Où est la liberté?

Ce n'est absolument pas ce que j'ai voulu dire, d'ailleur j'ai précisé plus haut que ce n'était pas le nombre d'enfant qui jouait mais ce que faisaient les parents de l'argent perçu. En aucun cas je n'incrimine les mères de famille nombreuses.

"Alors les gens doivent choisir leur manière de vivre en pensant aux sous des autres?" C'est la base d'une société, non? Le système Français permet l'éducation, la santé, les aides... justement parceque nous ne fonctionnons pas uniquement pour notre pomme. Je ne comprend pas qu'on trouve légitime de profiter d'un système sans contribuer à son bon fonctionnement. La moindre des choses en retour serai de se rendre utile, d'une façon ou d'une autre. Bref, ceci n'ayant pas grand rapport avec le nombre d'enfant par foyer, je vais peut être chercher un peu loin.

Déjà, nous contribuons tous au fonctionnement de la société sans y porter attention et même sans travailler : nous faisons travailler les médecins simplement en étant malades, les pharmacies, l'industrie alimentaire, le boulanger du coin, le boucher, l'industrie automobile, les compagnies pétrolières, les supermarchés et commerces, en nous nourrissant, en nous déplaçant (que ce soit en voiture ou en transports), les agences immobilières en nous logeant, toutes ces entreprises qui, grâce aux recettes engendrées par nos achats, paient des impôts. Plus directement, nous payons des taxes, d'habitation taxes foncières pour certains, redevance télé, et n'oublions pas que nous payons la TVA, 20% de ce que nous achetons va directement dans les caisses de l'État. Tout cela sans travailler. Note que l'industrie autour du bébé et de l'enfant (alimentaire, couches, vêtements, poussettes, lits, petit matériel, et j'en passe) est un marché extrêmement lucratif, créateur d'emplois et générateur de richesses. On voit le prix d'un combi landau-poussette-cosy de nos jours, n'est-ce pas ? En outre, plus on a d'enfants, plus on consomme (cela va de soi), et donc, plus on alimente le système. Nos "nombreux enfants" consommeront à leur tour, paieront nos retraites, des impôts et autres taxes, et alimenteront le système à leur tour. D'un côté, on se plaint de devoir payer des impôts, et de l'autre, on "râle" contre ceux qui n'en paient pas... Effectivement, le système français permet beaucoup de choses, mais c'est parce-qu'il est fait de telle façon que même les plus "profiteurs" (certaines familles nombreuses) l'alimentent grassement (sans même s'en rendre compte la plupart du temps). Pour obtenir preuve de ceci, je t'invite à te renseigner sur les taux de TVA et montant des divetsrs taxes pratiqués dans des pays où le service public et aides de l'État sont moindres. En conclusion, je dirai que nous sommes suffisamment ponctionnés par l'État (que ce soit directement ou indirectement) et par le privé pour ne pas avoir envie de régir sa vie personnelle en fonction de la société.

Veuillez m'excuser pour la longueur du commentaire, j'espère qu'il n'est pas trop barbant.

Non non, c'est intéressant. Comme tu viens de l'expliquer, tout le monde contribue par des consommations basiques et indispensables. Pourquoi certains seraient plus aidés que d'autres? Nous sommes 3 enfants chez nous, et sous prétexte que mes parents gagnent correctement leur vie (en ayant fait des études, et en étant littéralement au service de la société) ils doivent payer plus que n'importe qui, et presque sans toucher d'aide. Donc la participation est loin d'être la même, et voir des gens démissionner pour gagner plus, c'est juste incroyable. Il y a un réel problème de ce point de vue là, et je comprend que certains n'aient pas envie de se casser le cul au taff si c'est pour gagner moins. Après, est ce que c'est un exemple à suivre, je ne pense pas.

Totalement d'accord avec toi, je n'aurais pas pu mieux répondre.

Zafiliade, je me dois de te rappeler que les allocations familiales, l'aide spécifiquement octroyée pour les enfants, est attribuée sans conditions de ressources, et que vous soyez une famille aisée ou pauvre, tout parent y a droit et le montant sera le même. Oui, même tes parents, qui en plus ont la chance de gagner correctement leur vie, ont droit aux allocations familiales. Je me dois également de te rappeler que lorsque tu entres dans un magasin pour acheter tout le nécessaire pour ton ou tes enfants, les prix sont les mêmes pour tout le monde, aisés ou pauvres. En revanche, il est normal, me semble-t-il, que les personnes les plus en difficultés soient aidées, ce qui après tout est le but d'un système comme le notre. Malheureusement, comme cela a été dit, nous ne vivons pas dans un monde de "bisounours" et il y en aura toujours certains qui tenteront d'en abuser. Au passage, tu t'insurges contre les gens qui en abusent en ne cherchant pas de travail, mais je ne t'entends pas t'insurger contre ceux qui en abusent en cumulant des mandats et en vivant de façon opulente au frais du contribuable. Il faut aussi comprendre les gens qui ont le même sentiment d'injustice que toi et refusent de se démener pour que certains fassent leur sieste à l'Assemblée nationale, même s'ils n'emploient pas forcément les bons moyens pour protester. Pour finir, si tu penses réellement que démissionner permet de toucher plus, je t'invite vivement à consulter le site du gouvernement et à te renseigner sur la durée et le montant d'une allocation chômage en comparaison avec un salaire.

"Oui, même tes parents, qui en plus ont la chance de gagner correctement leur vie, ont droit aux allocations familiales. " Je ne pense pas que les études et les heures au boulot soient de la chance, et ça c'est uniquement le cas de mon père, ma mère est sage femme et elle est dans une situation professionnelle très peu enviable. Je ne suis pas allée consulter le site, j'ai des amis qui ont arrêté de bosser à leur premier enfant pour cette raison là: démission avec charte de non compétitivité (je ne m'y connais pas sur le sujet, je répète ce qu'ils m'ont dit) donc en indemnités ça commence à faire pas mal si je me souviens bien: indemnités+chômage+allocs. Enfin bon, perso quand je vois des familles qui touchent le chomage et qui roulent en BM, je pense qu'il faut pas non plus se foutre de la gueule du monde. Et ça m'énerve pareil quand ce sont des médecins qui font facturer 4x le salaire/heure pour leurs heures de garde. Je m'insurge pas sur les gens qui cumulent parce que pour le moment, il me semblait que c'était pas le sujet. Bien sûr que celà m'énerve aussi, les abus sont dans tous les domaines.

Je commencerai par une petite parenthèse en précisant que j'exerce le même métier que ta maman (en clinique, pas en libéral) depuis près de trente années et je sais à quel point c'est peu enviable financièrement et au niveau "fatigue". Mais chacun a sa vision des études et du travail : certains choisiront de faire des études pour avoir un travail qui rapporte un maximum d'argent alors que d'autres privilégieront l'intérêt qu'ils portent à la profession. À mon sens, personne n'a à juger la vision de l'autre et par conséquent, le choix de vie de l'autre. Si tu penses, comme tu l'as écrit, que faire des études et travailler n'est pas une chance, pourquoi ne fais-tu pas comme les profiteurs qui choisissent de ne pas travailler ? Car c'est un choix de vie que l'on fait (dans le cas où on a le choix) et chacun est responsable de ses choix. J'entends par là que quel que soit le choix de vie que l'on fait, il me semble déplacé de juger celui de l'autre. Certains n'ont pas le choix, pas les moyens, ou encore, perdent leur emploi. Je ne pense pas qu'il faille priver ceux-là d'aides pour quelques escrocs chasseurs d'allocations. Je serai tentée de te dire, même si cela est puéril et extrêmement déplacé, qu'en me basant sur ta logique, il serait plus judicieux pour tes parents de démissionner, puisque tu sembles assez renseignée pour prétendre que c'est un moyen de gagner plus. Pour en revenir à une réflexion plus mature, je dirai qu'avant de s'offusquer de l'augmentation des tarifs des uns et des autres, il faut d'abord se renseigner sur l'éventuelle augmentation des charges auxquelles ils sont soumis, et également de l'éventuelle prise en charge étatique de ces augmentations (la sécurité sociale dans le cas des medecins, que tu as mentionnés). Pour ma part, je ne me permets pas de porter de jugement puisque je ne connais pas bien les tenants et aboutissants de ce phénomène. Quant aux "chômeurs qui roulent en BM", par pitié, prend un minimum de recul et ne tombe pas dans le piège de la généralisation pour les utiliser en tant qu'argument, ils restent pour moi des cas isolés, et tu peux être rassurée par le fait que ce n'est certainement pas l'assurance chômage octroyée par l'État (qui par ailleurs ne peut être perçue sous condition d'avoir travaillé plusieurs trimestres) qui permet à ces parasites de s'offrir de belles voitures ! Pour finir, je te l'accorde volontiers, les gens qui cumulent n'étaient pas le sujet de départ, mais il m'a paru évident d'en parler car il me semble qu'ils sont bien plus malhonnêtes et nuisibles que les petits profiteurs que tu dénonces. D'autant plus que ce sont précisément ces personnes qui régissent notre système et qui sont donc, quelque part, la source de notre désaccord et de divergence d'opinion de beaucoup de français. Par ailleurs, note que le hors-sujet dans lequel nous nous sommes enlisées venait de toi, qui as dérivé sur les chômeurs alors que nous parlions simplement d'allocations familiales chez les familles nombreuses, qui, je le rappelle, sont octroyées aux plus aisés comme aux plus démunis.

Je te conseille d'ailleurs de lire le commentaire numéro 200, joliement écrit par une personne qui a déjà connu le chômage, qui te confirmera que non, on n'est pas mieux loti en étant chômeur qu'en étant travailleur.

Elle exerce en hôpital publique, et même si c'est l’intérêt pour la profession qui la motive, y'a des abus qui ne doivent pas passer. Assumer ses choix d'accord, mais y'a des limites à la dévotion. "Certains n'ont pas le choix, pas les moyens, ou encore, perdent leur emploi. Je ne pense pas qu'il faille priver ceux-là d'aides pour quelques escrocs chasseurs d'allocations." Et ce n'est pas ce que j'ai voulu dire, c'est difficilement admissible de laisser crever des gens parce qu’ils n'ont pas eu la possibilité de s'intégrer dans un système pour avoir des revenus suffisants. "pourquoi ne fais-tu pas comme les profiteurs qui choisissent de ne pas travailler ?" Je ne vais pas faire ce que je reproche à certains, pour moi c'est moralement que ça coince. Je vais faire ce que je peux pour bosser et avoir un salaire qui me permettra peut être un jour d'avoir une descendance, quitte à devoir arrêter de bosser un temps pour les élever je ne sais pas ce que je ferai dans les 10 prochaines années. En tout cas je refuse de faire 36 gamins pour rester chez moi à les élever en attendant que les allocs tombent, car comme tu l'a précisé je me suis éloignée du sujet et ce n'est que cette catégorie là qui me gonfle. Bien sûr que j'ai généralisé, il y a plein de cas différents, mais je vois pas comment on peut légitimer de ne pas chercher à travailler. Quand aux clichés, j'en croise plus souvent que tu ne le pense, mais je ne vais pas commencer à m'attaquer à une catégorie sociale en particulier pour illustrer mes propos, parceque ce n'est ni l'endroit ni le moment.