Tu as oublié le paramètre "tout le personnel du poney club ayant la même veste, un échange de veste est possible", qui justifierait que le nom écrit sur la veste ne soit pas celui de la stagiaire, et donc B n'est pas toujours vrai puisque ça serait alors le nom de quelqu'un d'autre. D'où l'intérêt de le préciser. CQFD

Tu n'as pas compris la logique. la proposition "c'est écrit" est indépendante de "les enfants vont oublier mon nom". La réalisation de la seconde n'influe en rien sur celle de la première. C'est donc la donnée de B qui importe et non la donnée de A réalise B ni celle de A alors B, tandis que B est alors effectivement vérifiée trivialement. D'où la nécessité de préciser B mais pas A alors B. Vois-tu où était ton erreur de logique ?

Je crois qu'il faut aussi ne pas aller chercher aussi loin. Ce site est là pour se détendre, pas pour débattre de la trivialité. En toute amitié bien sur ^^

Mais la détente passe bien entendue par la trivialité, en effet pour pouvoir se détendre il faut justement parler de choses triviales. Vois-tu où était ton erreur à toi ?

Chaton_tromignon > Être logique, c'est bien ; être rigoureux, c'est mieux (même quand on fait une plaisanterie). 1) Pour « si » : http://www.cnrtl.fr/definition/si (point I B 1 c) « [Si p exprime une éventualité qui justifie q] Pour le cas où. » Dans la VDM, « si » n'exprime pas une condition, mais une éventualité. 2) Pour « les » : http://www.cnrtl.fr/definition/les (point I E 1) « La spécification du référent résulte de la situation énonciative. Le subst. désigne un élément faisant partie d'un cadre fourni par la situation décrite ou par la situation de discours. » On parle d'enfants au début de la VDM ? Ce sont les mêmes à la fin, nul besoin d'utiliser un déterminant démonstratif. « La logique, il n'y a que ça de vrai. » Non : la grammaire, il n'y a que ça de vrai.

Tu vois : tu pars sur des considérations dérisoires de grammaire. je pars sur des considérations importantes de logique, qui me font dire que ta définition du si est la même que la mienne : un conditionnement, l'éventualité où .... Or la réalisation de "c'est écrit" est comme je l'ai montré tantôt indépendante de tout autre conditionnement, de tout autre éventualité. Si jamais vous oubliez, c'est quand même écrit, c'est d'une évidence triviale. C'était déjà écrit avant, ça l'est toujours si jamais les enfants l'oublie. Vois-tu la logique ici ?

J'avais parfaitement compris la première fois, mais tu n'as sans doute pas lu les exemples disponibles à l'adresse et au point précis que je donne : « [Si p est au prés.] L'Autriche ne me fera pas la guerre. Si elle me la fait, j'ai 150 000 hommes en Allemagne, et autant sur le Rhin, et 400 000 Allemands pour lui répondre (Napoléon Ier, Lettres Joséph., 1809, p. 167). Si tu écris un jour un roman, lui dis-je, je t'ai trouvé un titre (Abellio, Pacifiques, 1946, p. 200). » Cette utilisation est courante : « En cas de douleur, j'ai de la pommade. » --> Même si je n'ai pas de douleurs, j'ai la pommade quand même, mais ça n'enlève rien à la logique de la phrase.

C'est normal que tu ne voies pas ou je veux en venir, je suis le chaton le plus mignon du monde donc je suis le seul à pouvoir comprendre ce que je dis, qui est nécessairement fondé et parfaitement raisonné comme je l'ai prouvé par A + B - C / Z

Z*, la division par 0 étant impossible. Ah, que d'erreurs, que d'erreurs ! *s'en va vers des contrées moins hors sujet, où Alan ne le frappera pas*

Attention, je n'ai pas défini Z. je suis donc libre de prendre comme convention Z non nul. or toi tu veux à tout prix écrire Z*. pourquoi pas, mais justement je te rétorquerai que Z* par convention correspond à une variable aléatoire d'espérance nulle, ce qui augmente le risque de problème bien davantage que d'avoir écrit Z tout court. tu vois, tu ne fais que rajouter des erreurs à un raisonnement que n'en présentait pas à la base. Tu n'es vraiment pas mignon toi, contrairement à moi <3 .

si les institutrices lui disent qu'ils ne savent pas lire c'est qu'ils ne sont surement pas en troisieme année.

"une école pas terrible" : désolée, mais ça ne veut rien dire. Mon père était instit en ZEP, et pourtant, il a eu de très bons élèves dont certains ont pu intégrer de très bonnes écoles après leur bac... Comme il disait : "si un élève a de bonnes capacités et qu'on lui donne un minimum d'aide pour les exploiter, il peut réussir". Par contre, ce n'est pas parce qu'une personne sait faire ceci ou cela (arriver à lire en 3ème année de maternelle par exemple) que tout le monde peut le faire... Le rythme est différent chez chaque personne, en particulier chez les enfants. Et surprise, à 3 ans, on peut aussi faire du poney. Certes, on ne saute peut-être pas des barrières d'1m50, mais la découverte de l'animal, c'est vachement sympa aussi...

J'ai juste dit que ça m'étonnait de pouvoir faire du poney à cet âge là, pas dit que c'était pas possible, j'y connais rien. Une école pas terrible veut dire ce que ça veut dire, j'étais dans la même classe qu'élèves de 2 à 5 ans plus âgés que moi...On apprenait pourtant à lire et à écrire. Et je suis d'ailleurs actuellement dans une très bonne école (suffit de payer et d'avoir un bonne tronche pour avoir accès à une bonne éducation, maintenant...) Je veux juste dire que ce n'est pas la peine de se moquer de l'auteur parce que certains savaient peut-être lire, et que de toute manière c'est un réflexe.

"suffit de payer et d'avoir une bonne tronche pour avoir accès à l'éducation maintenant": hahahahahahahahahaha ! Pardon. C'était rigolo.