Par sashai - 17/08/2009 12:01

Aujourd'hui, après avoir avoué à mon petit ami que je l'avais trompé, je le supplie de me pardonner lors d'un week-end de réconciliation chez ma mère. Tout se passe bien jusqu'au moment où il se cogne méchamment la tête dans une poutre. "Ça fait rentrer les cornes !", a commenté laconiquement ma mère. VDM
Je valide, c'est une VDM 44 361
Tu l'as bien mérité 25 890

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Top commentaires

Quand tu trompe quelqu'un on dit que tu lui fait porter des cornes

Commentaires

Balika 1

...Il s'agit probablement d'une expression courante, je ne crois pas que l'auteure c'est amusée à raconter sa vie sexuelle à sa mère (surtout si elle est susceptible de sortir des phrases venimeuses). C'est juste une coïncidence malheureuse, d'où la VDM. D'autre part, je ne vois pas où est le mal d'inviter son petit ami à venir passer un week-end chez sa mère, même s'il s'agit de réconciliations (sa maison est probablement très sympa, hormis les poutres un peu agressives)... Je pense quand même ne pas être la seule à avoir des rapport un tant soit peu cordiaux avec mes beaux-parents ! Bref, VDM pour la phase difficile que traverse l'auteure (comme son copain), et pour tous les commentateurs qui se permettent en plus de juger !

Balika 1

#65 : l'intolérance et la suffisance des gens m'étonnera toujours, on voit que certain n'ont pas beaucoup vécu ou alors sans grande passion ! Que celui qui n'a jamais pêché lui jette la première pierre, comme dirait l'autre ! On peut avoir des difficultés avec son conjoint, avoir des moments de faiblesse, être amoureux mais se sentir dans une impasse, bref, des tas de raisons possibles pour commettre un jour une bêtise. L'adultère consistant à entretenir deux relations parallèles, il me semble que l'auteur n'en fait pas partie puisqu'elle a eu le courage d'admettre et d'avouer son erreur (et oui, du courage, c'est trop facile de vivre dans le mensonge et l'hypocrisie). Bref, il s'agissait ici de commenter une expression malheureuse survenue au mauvais moment (et néanmoins très drôle pour le lecteur). Pas de s'ériger en juge quant à l'opportunité d'un tel acte ou d'un tel aveu (qu'il ne nous appartient pas de juger, puisqu'aucun de nous ne connaît le contexte et les protagonistes - il me semble).

Bien d'accord, 68 : je m'entends très bien avec mes beaux-parents et l'expression a sans doute été employée en toute innocence. Triple VDM pour lui (en comptant la bosse).

fenghuang 0

Comme c'est un week-end de réconciliation, j'espère qu'il a eu un bon massage après ce choc

yeti 3

#69 Mesurer les autres à son aune est une constante humaine et au lieu de faire la chochotte outragée, il me semble plus pertinent de réaliser qu'à partir du moment où une personne étale sur un lieu public sa vie privée, il est normale que celle ci soit jugée et commentée ! Par ailleurs, qu'est ce qui est le pire ? Apposer un jugement sommaire et épidermique ou se lancer dans une leçon de morale sentencieuse ? Pour ma part je ne vois pas de différence. Dans les deux cas, l'intéressé livre son opinion alors que la vrai sagesse serait de garder son opinion pour soi ! Bref, personne n'est sage, moi y compris ^^

Haricot 0

Je penche également en faveur du dicton, ma mère me le disait quand je me cognais avant même que je sois en âge d'avoir des copines, c'est dire.

A propos des cornes du mari trompé, il y a celle-ci : "La marquise de Montespan devint la maîtresse de Louis XIV en 1667. Lorsque le marquis de Montespan l'apprit, au lieu d'accepter la situation comme c'était l'habitude des maris trompés à l'époque (surtout quand c'était le Roi lui-même qui vous cocufiait), il fit un scandale à la cour, faisant la morale au roi un jour à Saint-Germain-en-Laye, et décorant son carrosse de bois, symboles du mari trompé (comme les cornes, les andouillers étaient le symbole de la tromperie)" ^^

tonytoldo 1

Juste un TLBM au mec : ça t'apprendra à rester avec une *BIIIIIP*

# 75 : Je rajouterai même qu'il a fait modifier le haut des portes de sa demeure pour pouvoir passer à l'aise (et je ne peut que conseiller la lecture de " Le Montespan " de Jean Teulé)