claara_k

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Claara_k - Ses badges VDM

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Vous avez voulu savoir quel était le top du flop de tous les temps ? Maintenant vous savez !

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Je suis votre nouveau directeur artistique

Il fallait que vous donniez votre avis sur cette nouvelle illu dont le monde entier parle.

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C'est vraiment gentil de nous aider à faire le tri et ça tombe bien, il y a du boulot !

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L'édition de commentaire peut vous sauver la vie et vous venez de le comprendre.

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Quand on aime, on ne compte pas. Déjà 50 VDM dans vos favoris !

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Mais quelle jolie bouille ! Vous êtes sexy comme un chaton.

Profil rempli

Vous avez le souci du détail. Voilà qui sera apprécié.

Je valide, ma souris fonctionne

200 votes je valide, c'est une VDM. C'est la base.

Miroir, mon beau miroir

C'est la troisième fois que vous changez de photo de profil.

100 commentaires de qualité

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Un nouveau Pouce

Vous avez donné votre pouce sur 1000 commentaires.

Père Noël

Vous avez cherché le Père Noël partout, vraiment partout, et vous l'avez trouvé. Bravo !

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Tu vois, fiston, modérer les VDM, c'est comme un marathon.

50 réponses de qualité

Aider son prochain, c'est beau. Le faire sans être enterré ou modéré, c'est encore mieux.

Fervent lecteur — Niveau : dieu ninja

Vous avez voté sur 100 pour 100 de l'ensemble des VDM à ce jour.

Fervent lecteur — Niveau : maître ninja

Vous avez voté sur 50 pour cent de l'ensemble des VDM à ce jour.

Fervent lecteur — Niveau : apprenti ninja

Vous avez voté sur 15 pour cent de l'ensemble des VDM à ce jour.

Le Retour du Pouce

Vous avez donné votre pouce sur 5000 commentaires.

Le Pouce contre-attaque

Vous avez donné votre pouce sur 2500 commentaires.

Moralisateur

Vous avez dépassé la barre des 100 votes - tu l'as bien mérité -.

Maître du TLBM

C'était donc votre 500e vote - tu l'as bien mérité -. Nous nous prosternons.

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Vous avez parcouru 5 pages du site. C'est un début.

La liste des badges à trouver

Claara_k - VDM en favoris

Shania Wolf nous en dit plus

Bonjour à tous, je suis l'auteure de la VDM, c'est le moment des remerciements tout ça tout ça, je suis super émue, merci à mon metteur en scène... Et les voilà, les précisions, qui arrivent à la rescousse ! Je m'excuse par avance, je ne sais guère être concise ! Décor : Alors, pour éclaircir un peu les faits, ce n'était pas vraiment un appartement mais une forme de logement un peu spéciale. A l'époque des faits (il y a environ 6 mois de cela), j'étais en Erasmus en Norvège, et là-bas les résidences étudiantes habituelles sont assez différentes d'ici. En fait, ce sont de petites maisons d'un ou deux étages, composées d'en général quatre à huit chambres autour de pièces communes. En revanche, pas de continuité entre les bâtiments, ce qui impose de sortir dans la neige pour aller faire sa lessive ou... jeter les poubelles. Et j'admets qu'en pleine nuit polaire, c'est pas marrant, j'ai préféré faire ma lessive à la main pendant deux mois perso. Dans mon lotissement, les bâtiments comportaient six chambres, deux salles de bain et une cuisine. Une cuisine pour six donc, et à chacun sa semaine de sortir les poubelles. En outre, le tri sélectif c'est du sérieux là-bas, donc à part les devoirs dont on n'est pas fier, tout va dans sa poubelle attitrée dans la cuisine. Je ne pense pas que qui que ce soit ait gardé des déchets organiques dans sa chambre, ce qui est déjà une bénédiction. Prélude : Les faits, en vérité, comportent une certaine ironie. D'abord parce que ledit colocataire avait emménagé dans cette maison environ trois mois avant moi. Ensuite parce que moi-même, un mois après mon arrivée, me suis rendue compte que non seulement j'avais raté mon tour de sortir les poubelles (toute imprégnée que j'étais du planning de mon ancienne résidence), mais qu'en plus je n'avais pas la moindre idée de l'emplacement du local à poubelles. Il faut dire que c'était un truc un peu spécial, une sorte de tube près de la route traversant le lotissement, dans lequel on a l'impression de pouvoir verser des ordures à l'infini, et que personne ne vient jamais vider. Bref, une technologie exotique. Un mois après mon arrivée, donc, je n'avais pas encore répertorié la chose, mais je ne voulais surtout pas demander à mes colocataires, car alors ils s'apercevraient forcément que j'avais raté mon tour la semaine précédente ! J'ai donc attendu deux semaines, le début des vacances de Noël, que tout le monde, moi exceptée, rentre dans son pays, et c'est là que j'ai entrepris mon enquête. A ce stade, j'ignorais tout autant à quoi servait ladite clef, persuadée que le local à poubelles était un bâtiment en dur s'ouvrant grâce à la même carte magnétique que la laverie. J'ai donc passé une demi-heure à errer en pleine tempête de neige avant d'avoir la révélation. Ouf ! Mon honneur était sauf, ma dette payée, l'affaire ne parviendrait jamais aux oreilles de personne ! Les faits : Un mois passe alors, et le fameux colocataire revient pour le second semestre. Tout semble bien se passer, et le remplacement d'une colocataire créé même une distraction suffisante pour étouffer une crise au sujet de la vaisselle et bouleverser le planning : mon précédent manquement à mes obligations est ainsi définitivement noyé. Encore quelques semaines s'écoulent dans la plus parfaite nonchalance, même l'affaire de la vaisselle sale finit par se tasser, quand soudain, au détour d'une conversation parfaitement anodine, il lève le regard sur moi et, le trousseau à la main, me pose LA question. Me reviennent alors toute ma confusion, mon désarrois, ma terreur à l'idée que soit découverte ma terrible indignité... Mais lui, ça n'a pas l'air de le perturber le moins du monde d'apprendre ainsi la nouvelle après six mois à vivre là. Pas même l'ombre d'un rougissement sur ses joues laissées blanches par la nuit polaire. Juste un vague acquiescement qui laissait entrevoir l'intérêt parfaitement nul qu'il accordait à cette annonce jugée non pertinente. Conclusion : Au final, cela n'a guère fait que confirmer une impression que j'avais déjà depuis un moment : le planning n'était en fait qu'une vaste mascarade, qui avait commencé à s'affaiblir à peu près à l'époque de mon arrivée, et était pratiquement tombé en désuétude suite aux vacances de Noël. Si pendant six mois personne ne s'était aperçu que certains manquaient à leurs obligations, pourquoi craindre une quelconque réprobation ? Bien vite les sacs poubelles se mirent à s'entasser dans le couloir où on laissait les chaussures, et à former un joli petit muret décoratif qui balisait les escaliers. C'est ce qui m'avait été laissé sur les bras à Noël, ainsi que toute la vaisselle sale (n'en étant en rien responsable - c'étaient en vérité le même colocataire et celui qui était définitivement parti à Noël - je n'en avais lavé que la moitié avant de laisser le reste anonymement dans le lavabo, ce qui avait engendré la fameuse crise de la vaisselle), et le tout s'est reconstitué à une vitesse effrayante. Bon, dans l'ensemble, ce n'était pas trop horrible. Vu la température dans le couloir, les ordures devaient bien se conserver, je suppose, et de temps en temps l'un de nous trouvait le courage d'embarquer quatre ou cinq sacs (ils étaient minuscules, ndlr) avant d'aller courir après le bus. C'était pas joli à voir, mais au moins y'avait ni vermine ni odeurs. La vaisselle, en revanche, continua d'être source de conflits, dont je faisais en sorte de me tenir bien éloignée en cachant dans ma chambre les verres que j'avais la flemme de laver sur le coup - jusqu'à ce que, les réserves de toute la maisonnée s'épuisant, je décide de tous les restituer, le regrettant aussitôt en comprenant que tout le monde agissait de la sorte. Et, joie suprême, demeurant dans le groupe facebook du bâtiment bien qu'étant de retour en France, j'ai pu assister il y a quelques semaines à l'habituelle engueulade de rentrée quant à la vaisselle laissée sale pendant les vacances ; joute à laquelle tous participent joyeusement - même la norvégienne que j'ai vu deux fois dans l'année et dont je n'ai jamais su le nom - avec pour contre-attaque favorite le rappel des antécédents de tout un chacun : n'ayant point été citée, j'ai ainsi l'honneur d'être officiellement passée sous le radar ! Ce dont il n'y a guère matière à s'enorgueillir, le colocataire ici en question étant aussi parvenu à se faire oublier... Ainsi s'achève l'affaire, désormais laissée à la postérité.