Par Klaev - 11/08/2008 09:59
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Vous avez le souci du détail. Voilà qui sera apprécié.
Fervent lecteur — Niveau : maître ninja
Vous avez voté sur 50 pour cent de l'ensemble des VDM à ce jour.
Fervent lecteur — Niveau : apprenti ninja
Vous avez voté sur 15 pour cent de l'ensemble des VDM à ce jour.
Mobilité
Vous vous êtes connecté à VDM depuis le site mobile ou une application. C'est la classe.
C'est mon choix
Dans Modérez les VDM, vous avez voté Oui sur une anecdote qui a ensuite été publiée. Bien joué !
Modérateur en herbe
C'est vraiment gentil de nous aider à faire le tri et ça tombe bien, il y a du boulot !
50 favoris
Quand on aime, on ne compte pas. Déjà 50 VDM dans vos favoris !
Lot de consolation
On vous a refusé votre VDM, il fallait bien que l'on vous accorde au moins un badge.
Je valide, ma souris fonctionne
200 votes je valide, c'est une VDM. C'est la base.
42
Tu vois, fiston, modérer les VDM, c'est comme un marathon.
Fervent lecteur — Niveau : dieu ninja
Vous avez voté sur 100 pour 100 de l'ensemble des VDM à ce jour.
100 commentaires de qualité
100 de vos commentaires ne sont ni enterrés ni modérés. Quel plébiscite !
Le Retour du Pouce
Vous avez donné votre pouce sur 5000 commentaires.
Le Pouce contre-attaque
Vous avez donné votre pouce sur 2500 commentaires.
Moralisateur
Vous avez dépassé la barre des 100 votes - tu l'as bien mérité -.
Maître du TLBM
C'était donc votre 500e vote - tu l'as bien mérité -. Nous nous prosternons.
Un de plus et c'est le tête à queue
Vous avez obtenu 68 Miaou sur votre profil. Joli !
Nostram - VDM en favoris
Par Shania Wolf - 01/09/2014 14:27 - France - Montpellier
Shania Wolf nous en dit plus
Par Marinejea - 15/08/2014 06:34 - France
Marinejea nous en dit plus
Bonsoir à tous, Je suis l'auteure (et je viens de me créer un compte pour l'occasion, je ne sais pas trop comment ça marche pour apparaître en tant que telle) Tout d'abord, merci à tous pour vos encouragements et messages de soutien!! Je sais très bien que ma grand-mère est bien plus à plaindre que moi - je l'aime énormément, et ayant statistiquement beaucoup de chances de contracter la même maladie à la fin de ma vie par-dessus le marché, je suis consciente de la gravité de la situation. Mais effectivement comme le reste de ma famille en rit à chaque fois que la question fatidique revient sur le tapis, je me suis dit que l'anecdote ferait aussi rire la communauté des internautes - et puis ça fait relativiser. Pour ceux qui se demandent quel était ce fameux concours, il s'agit de celui de l'Ecole Normale Sup de Lyon, que j'ai raté à 0,6 pts ^^ J'ai été admise à khûber dans le même établissement et m'apprête à retenter ma chance l'an prochain, autant de raisons de ne pas déprimer! Surtout que le concours en question présente un taux de réussite avoisinant les 3%... Avoir un parent atteint d'Alzheimer en revanche est beaucoup plus grave, j'en suis consciente (surtout que mes deux grand-mères sont dans ce cas), mais parfois je me dis qu'il vaut mieux en rire... A défaut d'améliorer sa situation, ça simplifie au moins celle de son entourage. Voilà, j'espère avoir répondu à toutes vos questions (et ne pas avoir trop plombé l'ambiance avec ces histoires de maladie ^^), encore merci pour vos messages de soutien, et bonne soirée! PS: Non, je n'en profite pas pour lui soutirer de l'argent, quand même! :p Par contre effectivement, j'ai fini par prétendre avoir brillamment réussi le concours - ça lui fait plaisir et ne porte préjudice à personne!
Par PèreNoëlPourris - 19/12/2013 19:03 - France - Nantes
Par un-peu-maniaque - 21/11/2013 22:32 - Royaume-Uni - Shrewsbury
Bonjour à tous, je suis l'auteure de la VDM, c'est le moment des remerciements tout ça tout ça, je suis super émue, merci à mon metteur en scène... Et les voilà, les précisions, qui arrivent à la rescousse ! Je m'excuse par avance, je ne sais guère être concise ! Décor : Alors, pour éclaircir un peu les faits, ce n'était pas vraiment un appartement mais une forme de logement un peu spéciale. A l'époque des faits (il y a environ 6 mois de cela), j'étais en Erasmus en Norvège, et là-bas les résidences étudiantes habituelles sont assez différentes d'ici. En fait, ce sont de petites maisons d'un ou deux étages, composées d'en général quatre à huit chambres autour de pièces communes. En revanche, pas de continuité entre les bâtiments, ce qui impose de sortir dans la neige pour aller faire sa lessive ou... jeter les poubelles. Et j'admets qu'en pleine nuit polaire, c'est pas marrant, j'ai préféré faire ma lessive à la main pendant deux mois perso. Dans mon lotissement, les bâtiments comportaient six chambres, deux salles de bain et une cuisine. Une cuisine pour six donc, et à chacun sa semaine de sortir les poubelles. En outre, le tri sélectif c'est du sérieux là-bas, donc à part les devoirs dont on n'est pas fier, tout va dans sa poubelle attitrée dans la cuisine. Je ne pense pas que qui que ce soit ait gardé des déchets organiques dans sa chambre, ce qui est déjà une bénédiction. Prélude : Les faits, en vérité, comportent une certaine ironie. D'abord parce que ledit colocataire avait emménagé dans cette maison environ trois mois avant moi. Ensuite parce que moi-même, un mois après mon arrivée, me suis rendue compte que non seulement j'avais raté mon tour de sortir les poubelles (toute imprégnée que j'étais du planning de mon ancienne résidence), mais qu'en plus je n'avais pas la moindre idée de l'emplacement du local à poubelles. Il faut dire que c'était un truc un peu spécial, une sorte de tube près de la route traversant le lotissement, dans lequel on a l'impression de pouvoir verser des ordures à l'infini, et que personne ne vient jamais vider. Bref, une technologie exotique. Un mois après mon arrivée, donc, je n'avais pas encore répertorié la chose, mais je ne voulais surtout pas demander à mes colocataires, car alors ils s'apercevraient forcément que j'avais raté mon tour la semaine précédente ! J'ai donc attendu deux semaines, le début des vacances de Noël, que tout le monde, moi exceptée, rentre dans son pays, et c'est là que j'ai entrepris mon enquête. A ce stade, j'ignorais tout autant à quoi servait ladite clef, persuadée que le local à poubelles était un bâtiment en dur s'ouvrant grâce à la même carte magnétique que la laverie. J'ai donc passé une demi-heure à errer en pleine tempête de neige avant d'avoir la révélation. Ouf ! Mon honneur était sauf, ma dette payée, l'affaire ne parviendrait jamais aux oreilles de personne ! Les faits : Un mois passe alors, et le fameux colocataire revient pour le second semestre. Tout semble bien se passer, et le remplacement d'une colocataire créé même une distraction suffisante pour étouffer une crise au sujet de la vaisselle et bouleverser le planning : mon précédent manquement à mes obligations est ainsi définitivement noyé. Encore quelques semaines s'écoulent dans la plus parfaite nonchalance, même l'affaire de la vaisselle sale finit par se tasser, quand soudain, au détour d'une conversation parfaitement anodine, il lève le regard sur moi et, le trousseau à la main, me pose LA question. Me reviennent alors toute ma confusion, mon désarrois, ma terreur à l'idée que soit découverte ma terrible indignité... Mais lui, ça n'a pas l'air de le perturber le moins du monde d'apprendre ainsi la nouvelle après six mois à vivre là. Pas même l'ombre d'un rougissement sur ses joues laissées blanches par la nuit polaire. Juste un vague acquiescement qui laissait entrevoir l'intérêt parfaitement nul qu'il accordait à cette annonce jugée non pertinente. Conclusion : Au final, cela n'a guère fait que confirmer une impression que j'avais déjà depuis un moment : le planning n'était en fait qu'une vaste mascarade, qui avait commencé à s'affaiblir à peu près à l'époque de mon arrivée, et était pratiquement tombé en désuétude suite aux vacances de Noël. Si pendant six mois personne ne s'était aperçu que certains manquaient à leurs obligations, pourquoi craindre une quelconque réprobation ? Bien vite les sacs poubelles se mirent à s'entasser dans le couloir où on laissait les chaussures, et à former un joli petit muret décoratif qui balisait les escaliers. C'est ce qui m'avait été laissé sur les bras à Noël, ainsi que toute la vaisselle sale (n'en étant en rien responsable - c'étaient en vérité le même colocataire et celui qui était définitivement parti à Noël - je n'en avais lavé que la moitié avant de laisser le reste anonymement dans le lavabo, ce qui avait engendré la fameuse crise de la vaisselle), et le tout s'est reconstitué à une vitesse effrayante. Bon, dans l'ensemble, ce n'était pas trop horrible. Vu la température dans le couloir, les ordures devaient bien se conserver, je suppose, et de temps en temps l'un de nous trouvait le courage d'embarquer quatre ou cinq sacs (ils étaient minuscules, ndlr) avant d'aller courir après le bus. C'était pas joli à voir, mais au moins y'avait ni vermine ni odeurs. La vaisselle, en revanche, continua d'être source de conflits, dont je faisais en sorte de me tenir bien éloignée en cachant dans ma chambre les verres que j'avais la flemme de laver sur le coup - jusqu'à ce que, les réserves de toute la maisonnée s'épuisant, je décide de tous les restituer, le regrettant aussitôt en comprenant que tout le monde agissait de la sorte. Et, joie suprême, demeurant dans le groupe facebook du bâtiment bien qu'étant de retour en France, j'ai pu assister il y a quelques semaines à l'habituelle engueulade de rentrée quant à la vaisselle laissée sale pendant les vacances ; joute à laquelle tous participent joyeusement - même la norvégienne que j'ai vu deux fois dans l'année et dont je n'ai jamais su le nom - avec pour contre-attaque favorite le rappel des antécédents de tout un chacun : n'ayant point été citée, j'ai ainsi l'honneur d'être officiellement passée sous le radar ! Ce dont il n'y a guère matière à s'enorgueillir, le colocataire ici en question étant aussi parvenu à se faire oublier... Ainsi s'achève l'affaire, désormais laissée à la postérité.