Le sadique.. il a osé! :')

"Je suis une maman qui déchire" :D

#6 Je dois être la seule à avoir lu dans ma tête en imitant là pub ..

horrible ce commentaire, mais ça m'a fait trop rire XD

Comme dit un obstétricien avant une césarienne : "Je suis sûr que ça va déchirer sa mère !"

ouais #1, en général, ça déchire oui...

ça dépend des personnes. J'ai plus souffert avec la péridurale pour le 1er que sans pour le second. Donc cela dépend vraiment des personnes, du personnels médical, du mental.....

es vrai qu'avec péridurale c'est plus long que sans , je n'ose pas faire sans...

#2 : Ca c'est quand la péridurale fait effet....

ça sent le vécu...

#20A la base, je n'ai pas souhaité accoucher sans la péri. On n'a juste pas eu le temps de la faire. Mais au final, je ne regrette pas du tout.

18 ans ? non c'est pour toute la vie ! même une fois partis on s'inquiète tout le temps ?

Personne n'a parlé d'inquiétude ;)

Bah... Parce que c'est le premier, justement ? ^^

Comme tu l'as dit chaque accouchement est stressant, mais j'estime que le premier est le plus important. Avec un second, on fait un peu moins face à l'inconnu, on sait mieux comment ça va se dérouler etc. Je n'y connais peut-être pas grand chose niveau "maternité", mais si j'en viens à donner la vie, la première grossesse me fera certainement le plus flipper.

Et sinon ça serait peut-être pas mal de se détendre et d'arrêter de chercher des agressions partout ;)

Ah oui j'aurais dû me douter que tu avais la science infuse et que te contredire serait le signe de ma folie et de ma stupidité. Honte à moi!

J'adore les gens qui invoquent l'ironie quand ils passent pour des cons *siffle*

bon la pour le coup l'ironie était grosse comme une maison...

Avec frayeur :)

Ohlala, comme on dit "p*te un coup"? Pourquoi tant de haine dans tes commentaires, MamanLou essaie de rassurer l'auteure, c'est tout à son honneur. Effectivement elle ne peut ni garantir que ça se passera bien ni que le gynéco est une femme. Elle essaie d'être gentille et c'est vrai que les gynéco sont souvent des femmes. Donc bon, pas de quoi s'énerver pour un peu de gentillesse dans ce monde de brutes non? D'autant que peut-être qu'effectivement ça se passera mieux pour l'auteure en étant moins stressée, qui sait? Et dans ce cas c'est pas tes commentaires ou ceux comme celui de la VDM qui vont l'aider mais plutôt celui de MamanLou. Donc si ton accouchement à toi s'est mal passé, inutile de pourrir la magie pour celles qui croient que ça va être cool ou de stresser les autres ;)

Tu ne l'as peut-être pas pensé agressif ton message (il y a aussi tes autres interventions sur d'autres com qui m'ont peut-être influencée), mais il y a des façons de dire aussi. Certes elle a pas raison, c'est que de la gentillesse, n'importe quel couillon se doute qu'on douille au moins un peu (pour les plus chanceuses) lors d'un accouchement. Et chacun son truc, je n'aime pas non plus les phrases bateaux, de là à engueuler ceux qui m'en sortent en voulant bien faire...Je discute avant de mordre en général, je dis "écoute, tes phrases, c'est mignon mais ça me brise ce que je n'ai pas plus qu'autre chose". En général ça calme sans avoir à blesser. Et j'ai des amis sur qui ce genre de phrases à l'inverse, fonctionne, donc... Et ma tentative de psychologie n'en était pas une, à vrai dire, le vagin des autres (tien compris, navrée) je m'en contrebalance, seulement je vois pas trop l'intérêt de démonter les gens ou leurs espoirs sans raison, généralement c'est les frustrés qui font ça, donc j'y voyais une potentielle explication, tant mieux pour toi si tu as pu montrer tout ça aux internes. Et je reconnais que là c'est mon message qui peut paraître agressif (encore que c'est même pas pensé tel quel, plus blasée qu'autre chose) mais je n'ai plus envie d'être gentille avec des gens qui ne le sont pas sans raison :)

Et j'ai pas dit qu'il y avait plus de gynéco homme ou femme, juste que souvent c'est une femme qui nous suit parce qu'on préfère en choisir un femme. Enfin, certaines s'en fichent mais de ce que j'ai pu m'apercevoir en discutant autour de moi, c'est "souvent" le cas inverse.