Par Anonyme - 19/07/2008 14:35

Aujourd'hui, mon psychiatre m'a raconté que son oncle était mort, qu'il était en procédure de divorce, et qu'il allait saisir les huissiers pour un problème de locataires. Je suis dépressive, sous traitement, et je crois que cela fait 4 séances que je paie 45 euros pour faire SA thérapie. VDM
Je valide, c'est une VDM 51 730
Tu l'as bien mérité 4 603

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Top commentaires

Cigismonde 10

A la fin de la séance, tu lui dis "ça fera 45€ et rendez-vous la semaine prochaine". Bah quoi ? :-D

"change de médecin" "ah non celui là il va tellement mal qu'à chaque fois que je le vois je me sens mieux"

Commentaires

je suis dépressive c'est ce qui la fait le plus marrer les gens qui disent ça font vraiment pitié

C'est toi qui fait pitié, renseigne toi avant de parler, la dépression est une vraie maladie reconnue et il est tout à fait possible d'être conscient de l'être ! Sinon que ton psy fasse ça pour toi ou pas, si ça t'aide pas VDM pour toi !

Pourquoi continuer d'aller voir le même?

J'ai eu le droit à la même chose avec le mien, il me racontait ses vacances au ski plutôt que de m'écouter ... au prix de la séance j'ai très rapidement décidé de ne plus aller le voir !

Ouais...tu devrais peut-être te prendre un chien

frauclara_ 12
cile13 16

Trop fort !! J'ai connu la même chose, mais lui c'était ses problèmes avec la Sécu dont il me baratinait à longueur de temps...

Il peut être dépressif mais quand même être un bon psy...

ayant perdu en grande partie leur sensibilité, ils se mettent à produire de la sérotonine de façon désordonnée, en quantités bien supérieures. Un véritable dérèglement du cerveau se produit, dont beaucoup de malades ne parviendront jamais à se sortir. C’est la raison pour laquelle ces médicaments sont profondément addictifs. Après un premier « traitement » aux ISRS, beaucoup de malades ont le métabolisme de la sérotonine perturbé. Toute leur vie, ils retombent en dépression. Les médecins, qui s’aperçoivent que le premier médicament ne marche plus, va essayer d’autres « molécules » qui, après une amélioration de courte durée, provoqueront à leur tour d’autres perturbations qui enfoncent le patient dans un déséquilibre émotionnel et une dépendance de plus en plus forte.